•  

    « Antennes relais, Compteurs Linky et autres gadgets connectés »

     

    « Soumission inconditionnelle à l’obligation d’installation non concertée

    ou sursaut de désobéissance citoyenne de survie… ?

     Saint- Macaire, une Commune en lutte.

     

           La montée en puissance tout azimut des technologies numériques ouvre aux opérateurs et lobbies avides de marchés, une voie royale, d’autant que leurs intérêts ne manquent pas d’être relayés et servis par les politiques.

     De juteux bénéfices sont ainsi engrangés au nom d’un intérêt général et d’un modernisme triomphant pour lesquels (paradoxe d’un pouvoir revendiqué démocratique), nous Citoyens, peuple souverain, ne sommes même pas consultés. Nos avis ou revendications demeurant la plupart du temps lettres mortes, voire classées sans suite.

     Si l’Histoire nous a montré que nos Gouvernements ne s’embarrassent généralement pas de considérations sociales, humaines, ou de santé publique (amiante, sang contaminé, Tchernobyl…), nous sommes aujourd’hui de nouveau confrontés à un danger majeur, celui des rayonnements liés aux champs électromagnétiques (CEM). Et là encore, le pouvoir en place, prêt à sacrifier une partie de la population sur l’autel de la marchandisation et du profit, nie ou minimise, reste sourd aux alertes des victimes et des scientifiques indépendants.

          Depuis quelques années, se sont multipliées les interventions témoignant à quel point l’État a tout mis en place aux différents niveaux pour conserver le contrôle total de ce secteur économique.
    A titre d’exemple :

           - concernant l’implantation des antennes relais, compétence retirée aux maires et communes (seuls le Ministre chargé des communications électroniques, l’ARCEP, l’ANFR peuvent décider),

          - Le Jugement des conflits liés aux implantations d’antennes relais est lui, transféré systématiquement (saufs indemnisation dommages causés) au Tribunal Administratif sur Décision du Tribunal des Conflits du 14.05.2012,

          - A l’inverse de l’Allemagne et en dépit de ce que l’on sait de sa dangerosité, il est fait obligation aux usagers français d’accepter l’installation du compteur Linky

     

          Alors que la pression s’intensifie pour faire de nous des consommateurs passifs et soumis aux lois du marché… que les conflits d’intérêts deviennent monnaie courante au sein des instances européennes en charge de travaux sur la santé et les cem… qu’un nombre de victimes et personnes électrosensibles désemparées ne cesse de croître, des voix s’élèvent pour oser dire STOP …

     STOP à ce que le Professeur Belpomme (cancérologue reconnu) n’hésite pas à qualifier de «  crime contre l’Humanité. »

          Parmi elles, à noter pour son courage pragmatique, la Commune de Saint-Macaire (Gironde) et son Conseil Municipal (dont un de ses membres n’est autre que Stéphane Lhomme, Directeur de l’Observatoire du Nucléaire) engagés dans une action de refus d’installation des compteurs Linky et Gazpar sur leur territoire. Sage mesure de précaution d’élus conscients et responsables visant à protéger leurs administrés des rayonnement électromagnétiques liés à ces technologies.

          Parce que la démocratie ne peut s’accommoder d’une République tout business, bel exemple de réel engagement politique et citoyen dont on peut espérer que certains sauront s’inspirer... »

     

    P.B

    Publié par Coordination Nationale des Collectifs

     

    Source :

    http://coordinationnationalestopantennes.blogspot.fr/

     

     

     

     

     


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  • Bien vivre à Brax et
    Robin des Toits Midi-Pyrénées

    Vous invitent à une soirée projection/débat.
    Le Jeudi 27 Novembre 2014 à 20h30
    Salle Verte de la Maison de la vie des associations
    (Ancienne gare)

    ENTREE LIBRE ET GRATUITE


    "Comment vous protéger de l’influence des champs électromagnétiques artificiels
    Comment limiter votre exposition
    Informations et conseils"


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  • « Launac. Le projet d'antenne relais annulé par SFR »

    Publié le 20/04/14 sur la Dépêche.fr 

     

    « L'antenne radiotéléphonique SFR, déposée par l'opérateur dans la commune de Launac, par déclaration préalable une première fois le 2 septembre 2011 puis une seconde le 23 janvier 2012. Un deuxième certificat de non opposition à cette déclaration préalable a été émis par la préfecture le 22 mars 2012. La stupeur des habitants a été égale à leur colère du fait de subir, sans aucune consultation, l'implantation d'une 3ème antenne sur notre commune. La mobilisation de plus de 450 signataires de la pétition et une procédure au tribunal administratif ont permis au collectif de faire retirer ce projet.

     

    Le collectif Launac relais souhaite remercier tous ceux qui les ont soutenus dans cette démarche : «Le développement durable reste dans nos préoccupations principales, en concertation étroite avec les habitants de notre village.

     

    De son côté, l'opérateur de téléphonie a une vision des choses différente : «Ce site faisait effectivement l'objet d'un contentieux, en cours d'instruction. Compte tenu de l'évolution de notre environnement économique et notamment de la signature fin janvier 2014 d'un accord de mutualisation des réseaux mobiles entre SFR et Bouygues Télécom, SFR a revu ses priorités de déploiement. Ainsi, c'est SFR qui, de sa propre initiative, a demandé un non-lieu à statuer auprès du Tribunal Administratif de Toulouse concernant le site de Launac.»

     

    La Dépêche du Midi

     

     

    Source :

    http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/20/1866797-launac-le-projet-d-antenne-relais-annule-par-sfr.html

     


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  • « La Belgique interdit les téléphones portables pour enfants »

     

    Publié le 24/02/14 sur La Santé Publique

     

     

           « L’influence des ondes électromagnétiques sur le cerveau et en particulier sur le cerveau en plein développement des enfants n’est pas encore connue. Or, le développement et la commercialisation de téléphones portables destinés aux enfants de moins de 7 ans peut poser un problème. La Belgique a donc décidé de les interdire.

                                                                   Une mesure de précaution radicale

            Le gouvernement belge a voté cette nouvelle loi qui devrait interdire toute commercialisation de téléphones portables à destination des plus jeunes dès le 1er mars 2014 selon les quotidiens Het Laatstz Nieuws et De Morgen.

             Une décision qui était dans les tuyaux du gouvernement depuis presque un an mais contre laquelle s’étaient soulevés les constructeurs de téléphones mobiles qui estimaient que c’était aux parents et non au gouvernement d’interdire l’utilisation des téléphones mobiles aux enfants.

            Mais le développement de téléphones spécialement dédiés aux enfants, en forme de jouet et avec des touches simples d’utilisation, a inquiété les élus qui estimaient qu’il y avait un danger. D’autant plus que les téléphones mobiles sont très présents chez les jeunes en Belgique.

           Une récente étude aurait montré qu’à 12 ans quasiment tous les jeunes ont un téléphone portable et que près de deux tiers des jeunes entre 10 et 12 ans en ont également un.

           Avec cette loi, la publicité et la vente de téléphones spécialement développés pour les enfants de moins de 7 ans seront désormais interdites. »

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    Source : 

    http://www.lasantepublique.fr/politiques-publiques-et-organisation-des-soins/24022014,la-belgique-interdit-les-telephones-portables-pour-enfants,928.html

     

     

     


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  • À quand sur Mondonville?

     

    Article publié sur le 18/02/2014

     

    « Blagnac. Les bonnes ondes de la téléphonie »

     

           « Depuis 2009, la commune est engagée dans une démarche pionnière de réglementation de la puissance des ondes électromagnétiques émanant des antennes relais. Au cours des derniers mois, une étape supplémentaire a été franchie dans ce principe de précaution. Dix-huit points de mesures viennent d’être réalisés en continu, jour et nuit pendant un mois, sur tout le territoire communal. Confiée à la société Exem basée à Labège, cette analyse affiche des données encourageantes, regardées de près par d’autres communes.

     

    Sous le seuil légal

     

              «Les mesures moyennes font état d’une fréquence de 0,15 volt/mètre alors que les mesures maximales ne dépassent pas les 0,4», explique satisfait Pascal Boureau, adjoint au maire chargé de l’environnement et du cadre de vie. «Pour info, nous sommes en dessous du seuil revendiqué par les associations qui est de 0,6 et bien en dessous du seuil légal de 41 volt/mètre. En menant une politique de transparence avec les associations et les opérateurs impliqués, on arrive à de bons résultats. Pour certains points noirs comme l’école de l’Aérogare où une antenne relais était orientée vers l’établissement scolaire, on est parvenu à la faire déplacer dans un périmètre plus éloigné. Nous avions aussi repoussé le périmètre de précaution à 300 mètres des sites sensibles au lieu de 100 mètres auparavant. Nous nous efforçons d’épargner le plus possible les lieux où se trouvent des enfants comme les crèches ou les écoles. Mais, le principe de précaution ne doit pas concerner uniquement les antennes relais, il faut que les parents soient vigilants avec le wifi et les téléphones scotchés aux oreilles des enfants».

     

              A ce sujet, la mairie va engager une action dans les écoles primaires sur les dangers du téléphone à la rentrée des vacances d’hiver. Concernant les récentes mesures en continu dont Blagnac est la première ville de l’agglomération à les mettre en place, cette initiative a été reprise dans les discussions de Toulouse Métropole pour une extension à d’autres communes. »

     

    Jean-Luc Martinez

     

    Source :

    http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/18/1820814-blagnac-les-bonnes-ondes-de-la-telephonie.html

     

     

     


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  •  Alerte de l’Académie américaine de pédiatrie

    Paru le 16 janvier 2013 - Sur le site de PRIARTEM

     

    Nouvelle alerte : l’Académie américaine de pédiatrie plaide en faveurd’une meilleure connaissance des risques de l’exposition aux radiofréquences pour les enfants et à une meilleure information du public sur ces risques

     

            Un membre du Congrès américain, Dennis Kucinich a déposé, en août 2012, une proposition de loi intitulée ’Le téléphone portable, le droit de savoir’, qui propose des étiquettes d’avertissement sur les téléphones portables, de créer un nouveau programme national de recherche sur les téléphones portables et la santé et exige de l’Agence de Protection Environnementale (Environmental Protection Agency) de mettre à jour le taux d’Absorption spécifiques (DAS), aujourd’hui obsolète.

           Cette proposition de loi vient de recevoir un soutien de poids, celui de l’Académie américaine de pédiatrie qui regroupe pas moins de 60 000 praticiens. Dans une lettre adressée à Dennis Kucinich, le Président de l’AAP, le Dr Thomas K Mc Inerny, affirme ainsi : "L’Académie Américaine de Pédiatrie (la AAP) plaide en faveur du texte H.R. 6358 et soutient particulièrement l’analyse des effets des radiofréquences (RF) sur les populations les plus vulnérables, incluant les enfants et les femmes enceintes. En outre, nous sommes heureux que le projet de loi exige l’examen de ces effets lors de l’élaboration des normes d’exposition maximale. Les enfants sont touchés de manière disproportionnée par les expositions environnementales, y compris par le rayonnement des téléphones portables. Les différences de densité osseuse et de quantité de liquide dans leur cerveau par rapport à un cerveau d’adulte, pourraient permettre aux enfants d’absorber de plus grandes quantités d’énergie RF, plus profondément dans leur cerveau",

    Dennis Kucinich se félicite de ce soutien et souligne :

            "Les effets sur la santé des rayonnements des téléphones cellulaires sont potentiellement dangereux pour tous les utilisateurs, mais les enfants sont parmi les plus vulnérables comme le notent les médecins dans la lettre. Je suis honoré que ces professionnels réputés soutiennent le projet de loi ’Le téléphone portable, le droit de savoir. Notre coalition va en s’agrandissant et s’élargissant".

           Pour soutenir son texte, il s’appuie sur la classification des radiofréquences comme "peut-être cancérogène pour l’homme" par l’OMS, au même titre que le plomb et le mercure, sur les données d’Interphone et sur les recherches qui montrent, notamment les effets sur la fertilité masculine.

            Il constate que la Commission Fédérale des Communications (Federal Communications Commission) a publié les valeurs limites de ces rayonnements, appelé Débit d’Absorption Spécifique (DAS). « D’après la Commission Fédérale des Communications, écrit-il, le Débit d’Absorption Spécifique est "la quantité d’énergie RF absorbée par le corps lors de l’utilisation d’un téléphone portable". La limite actuelle du DAS d’un téléphone portable est de 1,6 watts par kilogramme. Cependant, le DAS actuel est obsolète. Il ne tient pas compte de l’usage actuel du téléphone portable et il ne tient pas compte, non plus des populations vulnérables comme les enfants ou les femmes enceintes. Il suppose que a seule’exposition d’une personne est celle de son téléphone en communication, mais avec le WiFi, les "smart phones" et les technologies Bluetooth, l’exposition à un seul périphérique sans fil est plus rare. En outre, le corps des enfants est en développement et leur crâne est plus "souple" que chez l’adulte. Cela signifie que le cerveau des enfants absorbe plus de rayonnement que ceux des adultes, ceux-là même qui ont été étudiés pour déterminer le DAS. »

    "Avec environ 300 millions abonnés au téléphone portable aux Etats-Unis et suffisamment de preuves scientifiques pour montrer le lien entre les téléphones portables et les effets sur la santé comme les tumeurs du cerveau ou les effets sur les spermatozoïdes, les consommateurs ont le droit de savoir ce que leurs téléphones émettent. Nous devons l’exiger" , déclare Dennis Kucinich.

     

     

    Source :

    http://www.priartem.fr/Alerte-de-l-Academie-americaine-de.html

     


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  • Téléphones Mobiles et Tumeurs du cerveau :

    Lien confirmé par la Cour de Cassation d'Italie


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  •  « Les policiers en ont

    "par-dessus la tête des antennes-relais" »

     

     

          Dans la lignée des associations, des divers collectifs et des particuliers, ce sont les fonctionnaires de la police aux frontières (PAF) de Perpignan relayés par Unité SGP-FO police, qui reprennent le flambeau de la lutte contre ces antennes-relais « suspendues au-dessus de leur tête ». Huit émetteurs hérissent actuellement le toit du bâtiment abritant la PAF mais aussi à proximité immédiate des services d’information générale, du renseignement intérieur et de la police judiciaire, au numéro 19 de la route de Prades. Et hérissent aussi le poil des policiers. « C’est une violation délibérée du principe de précaution, pour les collègues, le voisinage et surtout les enfants de l’école Condorcet située à 100 mètres. C’est inacceptable », dénonce Marc Bianchini, secrétaire-départemental adjoint du syndicat.

     

    « 15 malades pour 100 personnels »

          Le sujet a été abordé en mars, lors d’un CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) et a rapidement brouillé le dialogue. Les délégués syndicaux ont réclamé que des mesures soient effectuées concernant l’exposition des personnels aux ondes électromagnétiques. Et ce, par un organisme indépendant, le CRIIREM, composé d’experts.
    Le préfet a donné son accord pour ces relevés. Or, le SGAP (secrétariat général pour l’administration de la police) a mandaté deux expertises, l’une menée par la COFRAC, unique instance nationale publique d’accréditation, et une seconde par le biais de SFR qui a désigné une autre entreprise. « En fait, on a demandé à SFR de choisir la société pour s’auto-contrôler ! Utilise-t-on ces méthodes pour contrôler les routiers, les restaurateurs, les agriculteurs ou les déclarations d’impôts ? Et puis pourquoi ne pas utiliser des moyens moins dangereux comme la fibre optique ? Sur 100 personnels de la PAF, une quinzaine est atteinte de pathologies qui peuvent être dues à une exposition trop importante à ces ondes électromagnétiques. Cancers, problèmes d’oreille interne, d’irrigation du cerveau...».

     

    «Appliquer le principe de précaution »

           En 2011, le conseil de l’Europe avait préconisé l’application du principe de précaution et avait ramené la limite d’exposition à 0,6 volt/mètre qui devrait être abaissée à 0, 2 volt/mètre dans le futur. Sachant que la même année, l’OMS (organisation mondiale de la santé) et le centre international de la recherche contre le cancer ont classé les radiofréquences en catégorie 2B, autrement dit potentiellement cancérigène.
    « Or, on est largement au-dessus de cette limite. A Nancy, les représentants du personnel SGP-FO police ont obtenu du CHSCT l’annulation d’un projet d’implantation d’antennes-relais sur les toits du commissariat central. Pourquoi pas faire de même à Perpignan ? Surtout que Free a fait une demande pour implanter trois antennes de plus sur notre toit (lire ci-contre) ? Pourquoi des enfants, et des policiers, feraient-ils les frais de spéculations financières ? Parce que les locaux loués par l’administration appartiennent à une société privée  ? Nous demandons à l’ensemble des élus et des représentants de l’administration que cette situation soit réellement prise en compte et que le principe constitutionnel de précaution passe avant toute autre considération ».

    Laure Moysset


    Source :

    http://id.st/ext/http://www.robindestoits.org/

     

     

     


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  •  Réunion d'information publique à Fontenilles

    sur les ondes électromagnétiques

    avec Antennes 31

     

    « Le vendredi 19 octobre 2012 à 20h, à la maison des loisirs de Fontenilles, aura lieu une réunion d'information publique sur les ondes électromagnétiques.

    Cette réunion est organisée par notre association (Association Bellevue Versauvie Plantes) et nous invitons à cette occasion l'association Antennes 31 représentée par M. et Mme Hébrard qui nous exposerons les dangers liés aux ondes électromagnétiques.

    Nous réserverons une partie de cette réunion à la construction d'une nouvelle antenne sur notre commune ! »

     

     


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  • Voici un courrier de l’association BIEN VIVRE A BRAX :

     

    « Nous sommes heureux de vous annoncer la fin de la Procédure de notre affaire BIEN VIVRE A BRAX/ BOUYGUES TELECOM

    L’opérateur de téléphonie mobile  BOUYGUES TELECOM A ABANDONNE SON PROJET D’IMPLANTATION D’ANTENNES  AU 31 RUE DE LASPIACERES A BRAX.

    BOUYGUES TELECOM NOUS A FAIT PART DE SON DESISTEMENT ET A RESILIE LE BAIL DE LOCATION AVEC LE PROPRIETAIRE DU TERRAIN

    Compte tenu de ce désistement, la cour d'appel de Toulouse a clos notre dossier. »

     


    Une issue favorable à Brax: la présence régulière de "personnes médicalement fragiles" au centre d'hémodialyse à proximité a fait "reculer" l'opérateur (alors qu'il n'y aurait aucun danger...).

     

    Félicitation surtout à la ténacité des riverains.

     


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