• Pourquoi Agir?

    Ci dessous les liens vers deux émissions éloquantes sur la toxicité des ondes électromagnétiques (l'une passée sur Fr3 en mai 2011, l'autre plus ancienne interdite de diffusion télévisée.) Elles montrent bien l'inertie de nos dirigeants : bien peu de choses ont changé depuis; les normes n'ont toujours pas été revues en France.

     

    http://video.google.fr/videoplay?docid=-1225034969094563561 

    http://www.agoravox.tv/actualites/sante/article/mauvaises-ondes-31005

     

  • Étude de l'Environmental Toxicology and Pharmacology :
    « Effets de l'exposition aiguë à des signaux Wifi (de 2.45GHz) sur la variabilité cardiaque et la pression artérielle chez les lapins albinos »
     - 2015-


    Résumé :

     

          Des mesures sur l'électrocardiogramme et la pression artérielle ont été étudiés en fonction des expositions aiguës au WIFI (2.45GHz) pendant une heure sur des lapins mâles adultes. Les antennes WIFI ont été placées à 25 cm sur le côté droit, proche du cœur.
    L'exposition aiguë de lapins au WIFI a augmenté la fréquence de l'activité cardiaque (+ 22%) et la pression artérielle (+ 14%).

           En outre, l'analyse de l'ECG a montré que le WIFI induit une augmentation combinée des intervalles PR et QT. En revanche, la même exposition n'a pas réussi à modifier l'amplitude maximale des ondes P. Après injection de dopamine (0,50 ml/kg) et d'épinéphrine (0,50 ml/kg) par voie intraveineuse, sous exposition aiguë aux radiofréquences, nous avons constaté que le WIFI modifie l'action des catécholamines (dopamine, l'épinéphrine) sur la variabilité cardiaque et la pression artérielle par rapport au témoin.

          Ces résultats suggèrent pour la première fois, pour autant que nous sachions, que l'exposition au WIFI affecte le rythme cardiaque, la pression artérielle, et l'efficacité des catécholamines sur le système cardiovasculaire; ce qui indique que les radiofréquences peuvent agir directement et/ou indirectement sur le système cardio-vasculaire.

     

    Auteurs : Linda Sailia, Amel Haninib, Chiraz Smiranib, Ines Azzouzb, Amina Azzouza, Mohsen Saklyb, Hafedh Abdelmelekb, Zihad Bouslamaa

     

    Source :

    http://www.robindestoits.org/ETUDE-Effets-de-l-exposition-aigue-a-des-signaux-Wifi-de-2-45GHz-sur-la-variabilite-cardiaque-et-la-pression-arterielle_a2342.html

     

     

     

     


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  • Comprendre le fonctionnement

    des ondes électromagnétiques

     

    Voici une nouvelle conférence de Daniel Oberhausen (physicien à association PRIARTEM) :

    le fonctionnement des ondes électromagnétiques y est expliqué de manière accessible ainsi que leurs interactions avec le vivant.

    Notamment e problème des très basses fréquences, fréquences utilisées à la fois par la téléphonie mobile et par notre système nerveux !


    Dans cette conférence
    (de mars 2009) sont évoqués entre autre les téléphones mobile, les antennes-relais, le WIFI, le WiMax...

     

    Les 15 premières minutes de cette conférence présentent des similitudes avec la précédente mise en ligne mais la suite apporte de nouveaux éléments et des précisions intéressantes.

    Très instructive !

     

     

    http://www.dailymotion.com/video/x8u0d8_le-danger-des-ondes-electromagnetiq_news?fbc=620

     

     

     


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  • L’interférence des ondes électromagnétiques avec le vivant

     

    Dans la conférence suivante on comprend entre autre, la différence des émissions utilisées par les technologies sans fil par rapport aux ondes électromagnétiques naturelles et les interférences de cette pollution avec le vivant.

     

     

    Conférence du professeur Daniel Oberhausen (physicien membre du Priartem) à Mauléon-Licharre (64), venu sur demande d'une association de Moncayolle contre l'implantation du Wimax.

     

    En 3 parties. Publiée en 2009.


    Oberhausen-Maule-part1 by ZolZtiZz


    Oberhausen-Maule-part2 by ZolZtiZz


    Oberhausen-Maule-part3 by ZolZtiZz

     

    Source :

    http://www.dailymotion.com/video/x9qnmb_oberhausen-maule-part1_tech

     

     


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  • ...ou le plaisir du Moment Présent

     

     « L'hyperconnexion : le mal d'une époque

     - août 2014 »

     

     

           « En France, le téléphone portable a commencé à devenir populaire à partir de 1997-1998. La tatoo, le tam-tam, bipers français qui utilisaient les ondes analogiques (donc sans problème de santé) ont dû céder le pas à ce nouvel outil technologique.

    Un certain nombre de gens sont d'abord restés distant de cette nouvelle technologie, qu'ils avaient jugé à raison, parfois intrusive et souvent inopportune, puisque c'était accepter d'être toujours joignable, donc à tout moment de la journée et pour n'importe quelle raison.

    L'argument pour convaincre les plus rétifs était qu'ils étaient LIBRES. Qu'ils pourraient donc couper leur téléphone quand bon leur semblerait. Que ce n'était qu'un outil, qui pourrait leur sauver la vie en cas d'accident de voiture ou pour recevoir un appel urgent en cas d'enfant malade... et puis finalement pour recevoir des appels d'une urgence capitale comme : "n'oublie pas la baguette de pain", "quelle bouteille de lait dois-je choisir ?" ou encore "j'arrive dans 5 minutes"...

    Ainsi, le téléphone mobile, quand il est sans cesse connecté, devient une source d'intrusion perpétuelle dans la vie des gens. 


            Petit à petit mais très vite, le portable est devenu un outil de contrôle. Car quand on appelle quelqu'un sur son téléphone portable, on ne l'appelle pas chez lui, on l'appelle lui. Cette intrusion immédiate, qui a irrité et irrite encore certains, a été acceptée, parce qu'elle est bilatérale, réciproque. On me fait ce que je fais aux autres. Et tout le monde fonctionne ainsi.

    Le portable, qui devait être un outil pour compléter la fonction du téléphone fixe, au cas où on ne pouvait faire autrement, a fait l'objet de campagnes marketing phénoménales et est devenu, en une dizaine d'années, un accessoire indispensable à la vie courante.
    Or, il est évident que le portable est souvent un gadget pour tromper l'ennui tout en restant seul avec soi-même, dans sa bulle. Vous verrez souvent, en prenant les transports en commun ou dans la salle d'attente d'un médecin, des personnes pianotant sur leur portable, le visage baissé vers l'écran, comme pour éviter de rentrer en contact avec le réel. Pire, même en couple, il est parfois un outil de distraction et de passe temps, dans un moment qui devrait être intime .
    On est loin de la gêne des débuts, quand il était très malpoli de parler au téléphone au restaurant ! [...]

    Nos enfants sauront-ils que leurs parents utilisaient autrefois des cabines téléphoniques, attendaient leur rendez-vous au café les bras croisés et allaient rendre visite à un ami en sonnant à sa porte, sans l'appeler dans le hall de l'immeuble !

    En effet, les parents, inquiets et certainement mal informés ont équipé leurs enfants et adolescent d'un téléphone portable, et ont justifié ce choix par la possibilité pour eux de signaler tout événement anormal et de pouvoir les joindre et les localiser facilement à tout moment. Dans cet esprit, des bracelets électroniques de la marque LG, fonctionnant en Wi-fi, permettent aujourd'hui de localiser les plus petit. Ces équipements arriveront bientôt en France...
    Voir : DANGER/ ENFANT et bracelet connecté - Lettre ouverte à Jacques Toubon etMarisol Touraine - Robin des Toits - 15/07/2014

     
            Evidemment, il ne faut pas être passéiste mais "vivre avec son temps".
    Cependant, alors que
    la téléphonie mobile, le Wi-fi et autres technologies connectées envahissent littéralement l'espace public et privé en occasionnant un accroissement exponentiel de l'exposition aux champs électromagnétiques, n'est-il pas temps de s'interroger sur leur utilité et d'adapter leur utilisation au besoin réel ?

    En effet, pour de nombreux enfants et adolescent, Internet = Wi-fi, la connexion par câble n'existe pratiquement pas car ils n'ont connu que les tablettes et les smartphones. Cependant, la connexion internet classique par câble est la plus stable, la plus sécurisée, la plus rapide et sans aucun danger sanitaire. Elle permet, en outre, d'utiliser internet en un temps et un lieu défini, de sorte de ne pas être envahi par la réalité virtuelle. [...]

     

          Ce questionnement, en vue d'une modération n'est pas uniquement la responsabilité des pouvoirs publics. Robin des Toits revendique la baisse des seuils d'exposition de la téléphonie 2G à 0,6V/m (se basant sur le rapport Bioinitiatve 2007 - 2012) ainsi qu'un moratoire sur la 3G / 4G (se basant sur le rapport Reflex 2004) et le remplacement technologique ou l'interdiction du Wi-fi... Mais évidemment, il s'agit de voeux pieux sans une prise de conscience générale de la toxicité sanitaire que Robin des Toits dénonce depuis une dizaine d'années[...].
    Cette multiplication des échanges par champs électromagnétiques hyperfréquence occasionne ces dommages sanitaires, que l'on le sente ou non, sur soi, sur ses enfants. De nombreuses études prouvent que l'exposition in vitro et dès le plus jeune âge augmente le risque de troubles comportementaux et de l'autisme mais également des tumeurs cérébrales. [...]

     

    Une mode timide mais qui fait peu à peu parler d'elle : la "déconnexion". Ou comment passer de bonnes vacances sans la pollution de son téléphone mobile ou de sa tablette en 4G / Wi-fi. C'est à dire d'abord sans le stress lié à une activité de bureau, en étant totalement dans le présent avec les gens réels qui nous entourent mais aussi sans la pollution invisible que constituent les micro-ondes numériques en hyperfréquences, pulsées ou non en extrêmement basses fréquences (les données) qu'utilisent nos équipements mobiles.
    On trouve chaque semaine dans les kiosques, des articles de magazines donnant des adresses utiles pour passer des vacances sans Wi-fi et si possible le plus à l'écart possible des antennes-relais de téléphonie mobile.
    Ce détachement a donc commencé par le sentiment d'être débordé par la technologie mobile, de ne plus pouvoir se détendre et consacrer du temps aux choses présentes autour de soi lorsqu'on est en vacances.

            C'est l'impérieuse exigence sociale du portable qui nous a fait oublier que si le téléphone peut sauver de nombreuses situations comme lors d'un voyage en pleine mer en solitaire, il est pratiquement toujours inutile lorsqu'on a besoin de ses deux mains et/ou de son attention (conduire, payer à une caisse, regarder un film au cinéma...) mais aussi lors d'un accident de la route. Le téléphone devient hors d'usage dans la plupart des cas ou est inaccessible.

     

            Au delà du problème sanitaire, il est évident que l'objet quasi culte que représente aujourd'hui le téléphone portable, devenu smartphone, qui, en plus de téléphoner et d'échanger des textos, permet de prendre des photos et d'échanger des e-mails, offre une sensation de liberté aux adolescents autant qu'à leurs parents. Leur occupation est donc excessivement portée sur cet accessoire (de mode), un accessoire unipersonnel qui nuit in fine à leur capacité d'attention, de mémorisation et à leur sociabilité.

         Il suffit de voir et d'entendre les réactions de nombreux utilisateurs de téléphone portable lors d'une panne de réseau. L'angoisse les gagne . L'impression d'être totalement coupé du monde !

     

     

    Ce clip, intitulé "I Forgot My Phone" est éloquent à ce sujet :

     

     

            À l'opposé de cet excès, un récent exemple est à suivre :

     

    Insolite : Un café qui bloque le réseau mobile et le Wifi [...]

    Les fondateurs du Faraday Café au Canada sont de notre avis et ont décidé de baser leur concept café sur cette idée. Remettre au cœur des conversations l'humain en coupant toutes les connexions avec le monde extérieur. Vous aurez beau tendre le bras vers la fenêtre, vous ne capterez pas de réseau mobile et encore moins un wifi à proximité. Vous êtes obligés de vous intéresser à votre interlocuteur et vous ne pouvez plus vous échapper dans votre smartphone.

    Pas besoin de penser que vous allez pouvoir pirater le dispositif. Si vous ne captez pas de réseau, cela est à cause de l'architecture du bâtiment qui a été pensée pour couper toutes les ondes.

    Et vous quelle est votre solution pour que vos amis ne passent pas toute la soirée sur leur smartphone ?


    ---
    Source : http://actu.meilleurmobile.com/insolite-cafe-bloque-reseau-mobile-wifi_64856

     
            On peut espérer que peu à peu, les gens se rendront compte des limites et des dangers de la téléphonie mobile et du Wi-fi et, faisant suite à cette époque d'usage excessif et d'absence de limitation, une nouvelle époque de modération de l'utilisation personnelle et de limitation des puissances d'exposition aux ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi verra certainement le jour.

    Une législation sera nécessaire mais en attendant, vous êtes informé et pouvez le faire savoir !
    Si possible par téléphone fixe ou dans la vraie vie ! »

     


    Source :

    http://www.robindestoits.org/L-hyperconnexion-le-mal-d-une-epoque-la-preuve-en-images-et-en-video-aout-2014_a2243.html

     



     


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  • "Portables et cancer du cerveau: une étude confirme un lien"

    -BFM TV- 13/05/2014

     

     

    "Des chercheurs français ont mis en évidence le risque accru de tumeurs pour les utilisateurs intensifs de téléphone mobile, qui s'en servent plus d'une demi-heure par jour.

     

     


            Les résultats sont parlants: ceux qui ont pour habitude de passer plus de trente minutes par jour au téléphone ont un risque quatre fois plus grand de développer une tumeur maligne. Et ceux qui ont passé au total plus de 900 heures au téléphone dans leur vie présentent un risque plus élevé de 2,5. Une durée atteinte en passant en moyenne une demi-heure chaque jour au portable durant 5 ans. L'étude montre notamment que les commerciaux, et plus généralement ceux qui l'utilisent dans un cadre professionnel, sont particulièrement exposés.

            Pour les scientifiques, impossible de déterminer un seuil critique à partir duquel le risque augmente significativement, mais selon eux, le kit mains libres est à privilégier, et les excès de consommation doivent être limités. Les associations qui dénoncent le danger des ondes, elles, voient dans cette étude une nouvelle preuve du potentiel cancérigène des téléphones portables.


            Combien de temps passez-vous chaque jour suspendu à votre téléphone portable? Au-delà de trente minutes, soit plus de quinze heures d'appels par mois, la prudence est requise: les risques de développer un gliome, l'un des cancers du cerveau les plus courants, sont multipliés par quatre.

            C'est la conclusion tirée par une équipe de chercheurs bordelais de l'ISPED, l'Institut de santé publique, d'épidémiologie et de développement, dans une étude publiée dans une revue scientifique. Les chercheurs ont analysé 450 malades d'une tumeur au cerveau et 900 cas témoins non malades, puis les ont interrogés sur leur exposition au téléphone portable, depuis leur première utilisation."


    Source :

    http://www.bfmtv.com/societe/portables-cancer-cerveau-une-etude-etablit-un-nouveau-lien-772997.html

     

     


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  • Conférence à Sciences Po : 
    "Antennes relais, wifi, téléphones portables...
    Les ondes électromagnétiques: un danger invisible?" 
    -Février 2014-

    Avec le Pr Dominique Belpomme, le Dr Gérard Ledoigt, Etienne Cendrier et Jean-Yves Cendrey

     

    « Le 6 Février 2014, les étudiants de Sciences Po ont invité 4 personnalités à animer une conférence traitant des champs électromagnétiques liés aux technologies des télécommunications sans fil.

     

     Cette conférence est maintenant en ligne :

     

    "Lignes haute tension, antennes, Wi-Fi, téléphones portables…
    Même si nous ne les voyons pas, tout le monde est aujourdʼhui exposé à divers degrés à des champs électromagnétiques dont les niveaux vont continuer dʼaugmenter avec les progrès technologiques.

    Quels peuvent être les impacts dʼune exposition fréquente et prolongée à ces ondes électromagnétiques sur notre santé ? Cette question fait lʼobjet de nombreuses recherches et suscite de nombreux débats publics.

    Le but de cette conférence est de présenter certains enjeux scientifiques et politiques que soulève la question des impacts des ondes électromagnétiques sur notre santé, ainsi que leurs effets concrets et quotidiens sur les personnes électrosensibles.

    (On peut regretter que la qualité de la vidéo ne permette pas de voir les diapositives mais le contenu verbal est cependant largement explicite.)ndlr

     



    Avec lʼintervention de:

     Professeur LEDOIGT, professeur de Biologie à lʼUniversité Blaise Pascal de Clermont-Ferrand et ancien directeur de recherche de lʼex-ERTAC (Équipe de recherche sur les tumeurs et l'autosurveillance cellulaire).


    Professeur BELPOMME, professeur de Cancérologie à lʼUniversité Paris Descartes, président de l'Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse (ARTAC) et directeur de l'European Cancer and Environment Research Institute (ECERI)

     

     

    Site évoqué durant cette intervention :

     http://www.ehs-mcs.org/

     « Le contenu de ce site est le résultat de plusieurs années de recherche et de prise en charge diagnostique et thérapeutique de plus de 700 malades atteints d’électrohypersensibilité, autrement dit d'hypersensibilité aux CEM (EHS), et/ou d'hypersensibilité aux produits chimiques ou « Multiple Chemical Sensitivity » (MCS) par le Pr. Dominique Belpomme et son équipe. »

     

     Jean-Yves CENDREY, écrivain électrosensible. Il est l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages, romans, pièces de théâtre, et textes de combat.

     

    Etienne CENDRIER, porte-parole de lʼassociation Robin des Toits (association nationale pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fils) et chargé de la communication et des relations avec le monde politique sur ce dossier.

     

     

      Source :

     http://www.robindestoits.org/VIDEOS-Conference-a-Sciences-Po-Antennes-relais-wifi-telephones-portables-Les-ondes-electromagnetiques-un-danger_a2194.html

     

     

     


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  • "Les méfaits des ondes radio-électriques reconnus par la NASA en 1981"

    - La Maison du 21è Siècle - Avril 2014

     

     

    « Dès 1981, l’essentiel des dangers liés à l’exposition des organismes humains aux radiofréquences micro-ondes étaient connus et recensés explicitement par l’agence spatiale américaine (NASA), dans son rapport (à télécharger en PDF en pièce jointe) Electromagnetic Field Interactions with the Human Body : Observed Effects and Theories (Interactions des Fréquences électromagnétiques avec le corps humain : Effets observés et théories). Ceci y compris les symptômes de l’électrohypersensibilité (EHS) qui ne sont toujours pas connus par l’essentiel des médecins, ni reconnus par nos autorités, 33 ans plus tard!

    Ce qui est remarquable dans ce rapport est qu’il recense les effets physiologiques des radiofréquences sur les humains – à l’exclusion des animaux -, dans des densités de puissances faibles et dites athermiques. Aujourd’hui encore, nos autorités et les acteurs de la téléphonie mobile réfutent qu’il puisse y avoir des effets physiologiques en dehors des densités de puissances dites thermiques.

    D’autre part, ce document voulait contribuer à éliminer une confusion mondiale concernant les limites d’expositions à ces radiofréquences micro-ondes. Ce fut en vain car aujourd’hui encore, les limites d’expositions sont basées sur les effets thermiques d’une irradiation unique de 6 minutes qui ne devait pas compromettre la vie d’un sujet sain, alors que nous sommes irradiés en permanence 24 sur 24 et 7/7, y compris nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes malades et âgées.

    Le rapport de la NASA donne même une ébauche d’explications du processus d’initiation de cancers suite à l’exposition prolongée aux radiofréquences en évoquant une asphyxie des cellules suite à une fuite des électrons hors des cellules due à l’irradiation aux fréquences électromagnétiques.

    Voici de manière plus détaillée des extraits du document.

    Par exemple, le tableau 11 résume les effets perçus par des personnes travaillant dans des champs électromagnétiques de fréquences radio, ce qui est le cas d’une très large majorité d’entre-nous aujourd’hui avec les téléphones portables, sans fils DECT, Wi-Fi, BlueTooth etc.

    Céphalées, fatigue oculaire, vertiges, troubles du sommeil nocturne, somnolences diurnes, irritabilité, sentiments de peur, tension nerveuse, dépression, troubles de la mémoire, réactions hypocondriaques, insociabilité, douleurs musculaires et aux alentours du cœur, difficultés respiratoires, transpiration des extrémités augmentée, difficultés sexuelles.

    Quant à elles, les manifestations cliniques énoncées dans le tableau 12 sont : bradycardie, hypertension, perturbation du processus endocrinien, hyperactivité de la glande thyroïde, épuisement du système nerveux central, sensibilité diminuée de l’odorat, augmentation de l’histamine sanguin, perturbation du processus endocrinien, avec plaintes de fatigabilité augmentée, maux de tête périodiques ou constants, irritabilité extrême, somnolence au travail.

    Dans le tableau 14, en plus de certains effets déjà recensés, on trouve en outre : dysfonctionnements du système nerveux central végétatif, pathologie liées à la thermorégulation, modifications cardiovasculaires, élévation du cholestérol, gastrites et ulcères, désordres électroencéphalographiques, hypotension, hypertension, maladie des micro-ondes (EHS), élévation de la glycémie à jeun, etc.

    Le tableau 15, en sus de certains des effets précédents, montre aussi tout un panel d’effets sur la formule sanguine : diminution des érythrocytes, des leucocytes, augmentation des lymphocytes, des thrombocytes, etc.

    Le déclin de la qualité du sperme qui fait beaucoup parler de lui aujourd’hui était déjà évoqué dans le tableau 16 dans les termes suivants : une diminution de la fonction sexuelle et de la spermatogenèse ainsi que des modifications de la chimie des protéines sanguines et des changements chromosomiques des leucocytes.

    Danger de mort subite du nourrisson, effets neurasthéniques, fertilité mâle diminuée, et promotion du cancer sont répertoriés dans le tableau 18.

    La figure 15 montre qu’après 10 ans d’exposition, 50 à 60 % des personnes exposées sont victimes de céphalées alors qu’elles n’étaient que 20 à 30 % la première année. On en perçoit un effet cumulatif qui ne met personne à l’abri des effets nocifs s’il est suffisamment longtemps irradié.

    En conclusion, les dangers sanitaires liés à l’utilisation du sans-fil-à-tout-prix et en toute occasion sont connus depuis des décennies par les scientifiques, mais parfaitement bien occultés et cachés par nos autorités et les industries auxquelles cette ignorance des consommateurs profite aux entreprises par milliers de milliards de dollars à l’échelle planétaire !

    Quand donc ces industries se tourneront-elles vers des technologie biocompatibles, telle que la communication par la lumière sans fil (Li-Fi ou Light Fidelity) ou via la fibre optique? Lorsque nous serons assez nombreux à être dûment informés et à choisir de privilégier notre santé et notre longévité ainsi que celles de nos enfants plutôt que le confort immédiat d’une connexion sans fil.

    C’est nous qui décidons de notre avenir et de celui de nos enfants! »

     

    Télécharger le rapport de la NASA ici

     

    Source :

    https://maisonsaine.ca/sante-et-securite/electrosmog/les-mefaits-des-ondes-radio-documentees-par-la-nasa-en-1981.html

     

    https://maisonsaine.ca/sante-et-securite/electrosmog/les-mefaits-des-ondes-radio-documentees-par-la-nasa-en-1981.html

     

     

     


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  • « Récapitulatif du danger de la téléphonie mobile

    (portable, antenne-relais, Bluetooth, Wi-fi...) »

     

     

    « Argumentaire détaillé à l'attention de votre famille ou vos amis, voisins, collaborateurs ou médecin...

     

           Robin des Toits est une association nationale qui milite pour la sécurité sanitaire dans les technologies du sans-fil : portables, antennes-relais, wifi, wimax, baby phones, bluetooth etc. L'objectif de l'association est une réelle réglementation abaissant les normes d'exposition du public, obligeant les industriels à des études d'impact sanitaire avant tout lancement de nouvelle technologie et reconnaissant le handicap que représente l'électrohypersensibilité.

           L'association nationale Robin des Toits a donc pour mission de rechercher des technologies et des pratiques de communication sans fil respectueuses de la santé publique. Ce qui suppose une réglementation réelle centrée sur un maximum d'intensité en tous lieux de 0,6V/m pour les émissions de la téléphonie mobile GSM.

            Le programme de Robin des Toits comporte actuellement la proposition d'un moratoire sur la 3G (UMTS) et 4G jusqu'à diffusion d'un rapport scientifique crédible et l'interdiction légale pour les   émissions Wi-fi, FemToCell, Wimax, DECT et Bluetooth, pour lesquels la protection du public est impossible en raison de leurs caractéristiques techniques (fréquence, densité des données transmises...)
    Voir : http://www.robindestoits.org/attachment/115208/
    Robin des Toits réclame plus d’antennes GSM (2G), différentes des antennes actuelles, moins puissantes et concentrées sur la couverture des espaces extérieurs. 

    Ce programme a pour principaux axes :
          - augmentation du nombre de point d’émissions (antennes-relais) afin de réduire la surexposition des personnes habitants à proximité ;
         - établissement d'un réseau de zones à intensité plus faible garantie par l'Etat en raison du nombre croissant des personnes victimes d'EHS (électro-hypersensibilité) ;
        - diffusion par l'Etat, y compris en milieu scolaire de documents comportant la liste des risques et les moyens simples de protection individuelle. Affichage dans les points de vente de ce document.

            Robin des Toits n'est donc pas opposé aux antennes-relais et ne s'y oppose que dans la mesure où celles-ci dépassent 0,6V/m alors le gouvernement fixe la limite à 41V/m pour le GSM 900/1800.
    Robin des Toits est en revanche opposé au Wi-fi, FemToCell, Wimax, DECT, Bluetooth et 3/4G pour lesquels le seuil de 0,6V/m n'est pas applicable.

            Aujourd'hui, si les avis de l'OMS au niveau international et les agences de protection sanitaire en France et à l'étranger devraient suffire à limiter les intensités et à encadrer le déploiement de la téléphonie mobile, aucune instance gouvernementale dans le monde n'a entériné ce consensus scientifique.
    Ce vide juridique permet à l'industrie de ne subir aucune contrainte, comme à l'époque de l'amiante (qui d'ailleurs n'est pas été interdite dans tous les pays).
    Pire, ce sont les gouvernements et les agences officielles qui favorisent l'industrie de la téléphonie mobile en définissant des limites d'émissions basées sur l'effet de chaleur des micro-ondes, et non sur les effets spécifiques athermiques reconnus depuis les années 60, à l'époque des premiers radars. (Gouvernement Jospin 2002, Icnirp 1998 et 2009, OMS jusqu'à 2010, Afsse 2003 – 2005, Académie des Sciences et de Médecine 2009).

            Tout comme l'amiante avant 1997 en France, les lobbies industriels de la téléphonie mobile font régulièrement des études rassurantes, généralement financées par l'industrie elle-même.
    Des pressions sont exercées sur certains chercheurs qui trouvent des résultats qui ne vont pas dans le sens espérés par l'industrie quand d'autres agences ou fondation, inféodés à l'industrie, défendent la thèse de l'innocuité sanitaire.
    Voir : Mises en cause de l'expertise officielle sur les dangers de la téléphonie mobile

           Ainsi, dans un contexte où le chiffre d'affaire de cette industrie représente plus que l'aéronautique civil, militaire et le tabac et où aucune décision d'ampleur n'a été prise au niveau gouvernemental, il faut lire les avis des instances sanitaires internationales avec attention :

    • l'OMS a classé les ondes électromagnétiques type GSM et Wi-fi comme « possiblement cancérigène » (groupe « 2B »), à l'instar de la laine de verre, le bisphénol-A ou les vapeurs d'essence : http://www.robindestoits.org/_a1264.html
    • l'OMS a publié plusieurs études sur les antennes-relais depuis 2003 : http://www.robindestoits.org/_a600.html
    • l'Afsset (ancien ANSES), Agence Française de Sécurité Sanitaire et du Travail, recommande baisser les puissances des antennes-relais sur la base d'études incontestables sur la santé humaine : http://www.robindestoits.org/_a1014.html
    • Le conseil de l'Europe recommande la baisse des seuils à 0,6V/m puis 0,2V/m, résolution 1815 - mai 2011 : http://www.robindestoits.org/_a1246.html

             Ce vide juridique autour de la téléphonie mobile oblige les médecins à lancer des appels depuis 2002 pour mettre en garde contre la toxicité de cette technologie.
    Voir : http://www.robindestoits.org/_r27.html
    Des chercheurs comme le Pr HARDELL, auteur d'une étude du Programme Interphone sur les cancers du cerveau en 2007 (http://www.robindestoits.org/_a62.html ou le Pr ADLKOFFER, directeur du rapport REFLEX sur les brisures d'ADN sous exposition 3G en 2004 (www.robindestoits.org/_a158.html.robindestoits.org/_a158.html) ont du également prendre position contre les attaques qui leur étaient faite et alerter l'opinion sur le risque sanitaire de la téléphonie mobile. (Voir : http://www.robindestoits.org/_a533.html ; http://www.robindestoits.org/_a437.html

             Bien que ce fut le projet du Grenelle des Ondes, à l'issu du rapport de l'Afsset de 2009 (qui a déclaré la nécessité de poursuivre les études sur les effets athermique) et des procès gagnés contre les opérateurs, d'examiner la possibilité d'une baisse des seuils des antennes-relais, ce Grenelle n'a pas su imposer rapidement la mise en place de seuil-limite aux opérateurs dans le délai prévu d’un an et a entretenu une mécanique dilatoire comme pour l’amiante afin de préserver les intérêts financiers.

            Puis le Conseil d'Etat a voté l'interdiction pour les maires de s'opposer à l'implantation d'antennes sur la base du principe de précaution (bien que les maires puissent toujours s'opposer à la déclaration de travaux des antennes.
    Voir : Antennes-relais : ce que peuvent faire les Maires - Robin des Toits – 07/11/2011
    Cette loi est passée alors que des conflits d'intérêt ont été révélés concernant deux maîtres de requêtes du Conseil d'Etat ayant travaillé pour Bouygues Télécom, SFR. (Voir : http://www.robindestoits.org/_a1440.html

          A l'heure donc où aucune réglementation protectrice n'existe, le gouvernement et les industriels de téléphonie mobile prennent le parti de rejeter globalement l'idée d'un danger réel lié au déploiement de cette technologie. En face, une grande part des citoyens considèrent que puisque les ondes ne se voient pas, que la technologie est utile et qu'elle est le produit de ce que l'on appelle le progrès, utilisé par tous, il s'agit d'une pollution comme les autres, d'un « mal pour un bien » qui ne doit surtout pas remettre en cause leurs habitudes personnelles (Smartphone, Wi-fi, GSM...).
    Il s'agit donc d'un problème devant être résolu par des instances officielles ayant autorité... qui ne le font pas, afin de toujours promouvoir l’intérêt économique de l'industrie. Ainsi, les coutures du dossier de ce futur scandale sanitaire de la téléphonie mobile ressemblent à celles des autre scandales sanitaires tels le tabac, les conséquences de l'accident de Tchernobyl ou l'amiante.


          C'est pourquoi nous avons rassemblé pour vous, afin que vous puissiez convaincre vos proches de la toxicité sanitaire de la téléphonie mobile et de la nécessité de s'en protéger :

    A) les arguments permettant de démontrer la toxicité du groupe technologique de la téléphonie mobile

    B) les arguments démontrant la réalité physiologique et non psychosomatique de l'électro-hypersensibilité (EHS) 

    C) les critiques vis à vis des études biaisées d'innocuité sanitaire

    D) les critiques des études partisanes (industrie et gouvernement) qui nient l'EHS comme syndrome physiologique »


     

    La suite de l'article ici :

    http://www.robindestoits.org/Recapitualtif-du-danger-de-la-telephonie-mobile-portable-antenne-relais-Bluetooth-Wi-fi_a1520.html

     

     

     


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  • "Radiofréquences: 3 fois plus de risque de cancer après 25 ans d’exposition"

    - Le Journal de l'Environnement - 07/10/2013

     

            "Faute de recul suffisant, les effets de l'exposition à long terme aux radiofréquences n'avaient jusqu'ici pas pu être établis. Depuis la Suède, précurseure de la téléphonie mobile, des chercheurs viennent de publier la première étude sur le sujet. Ils mettent en évidence une augmentation significative du risque de tumeur cérébrale pour les utilisateurs de portable et de sans-fil après 20 années d’utilisation.

            Voilà plus de 30 ans que les Suédois goûtent aux joies du «sans fil»[1]; une population idéale à étudier pour les oncologues et les spécialistes des rayonnements, afin d’éclaircir la question des effets sanitaires des téléphones portable et de leurs cousins sans fil après plus de 25 ans d’utilisation. L’étude réalisée par l’équipe de Lennart Hardell[2] est la première à étudier ces effets sur une aussi longue durée. Et elle met en évidence une augmentation très significative du risque de tumeur cérébrale associé aux radiofréquences (RF), puisque ce risque double après 20 ans d’utilisation et triple au-delà de 25 ans ce n’est pas précisé plus bas : « …pour la période d’exposition comprise entre 15 et 20 ans, où le risque est multiplié par deux. Au-delà, les données font encore défaut pour caractériser l’incidence du risque. » . Ces résultats viennent d’être publiés dans la revue International journal of oncology.

                    Etude solide

             Les chercheurs suédois ont comparé l’incidence de tumeur cérébrale auprès de deux populations exposées depuis les débuts de la technologie «sans fil». La première (se fondant sur le registre national des cancers) est constituée de malades âgés de 18 à 75 ans, chez qui le diagnostic de cancer a été posé entre 2007 et 2009. Les 593 malades ont été choisis en fonction de leur âge, sexe, facteurs héréditaires, etc. Des critères également utilisés pour recruter la population-témoin, constituée de 1.368 personnes, indemnes de toute pathologie et utilisatrices de technologies «sans fil». «Cette étude est très solide au plan épidémiologique, car on ne travaille pas à partir d’un échantillon, mais bien à partir de la totalité de la population que l’on souhaite analyser», souligne Janine Le Calvez, la présidente de l’association Priartem[3].

                    Incidence en cloche

             L’incidence des cancers suit une courbe en forme de cloche: après une exposition allant de 1 à 5 années, les chercheurs mettent en évidence un risque 80% plus important, qui décroît pour les 10 années qui suivent, avant de repartir avec vigueur pour la période d’exposition comprise entre 15 et 20 ans, où le risque est multiplié par deux. Au-delà, les données font encore défaut pour caractériser l’incidence du risque. «La question qui est posée ici, c’est de savoir si l’exposition a favorisé l’apparition de quelque chose qui était déjà en route –les RF auraient un effet promoteur- ou si elle est à l’origine de la tumeur –avec un effet initiateur?», s’interroge Janine Le Calvez, qui considère que la technologie numérique aurait les deux caractéristiques. Et de relever une corrélation entre le côté de la tête où est le plus souvent utilisé le téléphone portable et la localisation de la tumeur.

                     Portable à 5 ans, tumeur à 30 ans?

              Au vu de cette étude, qui vient consolider le classement en cancérigène possible (2B) par le Circ en 2011, Priartem s’inquiète de l’exposition de plus en plus précoce aux ondes. «Dans 25 ans, ils seront en pleine trentaine, sauf que… l’utilisation durable du portable multiplie par trois les risques d’être atteint d’une tumeur cérébrale (…) Ces résultats doivent inciter plus que jamais les responsables de la santé à informer largement la population des risques associés à l’usage du portable et plus généralement à l’exposition aux radiofréquences.»

    Le 15 octobre prochain, l’Anses publiera une mise à jour de l'évaluation des risques liés aux radiofréquences. "


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    [1] En Suède, la population a commencé à utiliser le «sans fil» dès 1981 (avec les téléphones analogiques), puis le digital en 1991, avant la 3G en 2003.

    [2] Lennart Hardell était déjà associé en 2011 au groupe de travail du Centre international de recherche sur le cancer (Circ), constitué afin d’évaluer le potentiel cancérogène de l’exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences

    [3] Priartem: Pour une réglementation des implantations des antennes-relais de téléphonie mobile.


    Source  :

    http://www.journaldelenvironnement.net/article/radiofrequences-3-fois-plus-de-risque-de-cancer-apres-25-ans-d-exposition,37447?xtor=EPR-9

    http://www.robindestoits.org/Radiofrequences-3-fois-plus-de-risque-de-cancer-apres-25-ans-d-exposition-Le-Journal-de-l-Environnement-07-10-2013_a2057.html

     

     

     

     


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