• Interview du Responsable d'Antenne 31 su TLT

     

    Interview de Jean-Claude Hebrard (Responsable d'Antenne31) sur le plateau de TLT (en 2011).

    Cette vidéo permet de faire un rapide tour d'horizon des problèmes que peut engendrer la prolifération de la pollution électromagnétique ainsi que de ses diverses sources.

     

     

                              

     

    Vidéo tirée du site d'Antenne 31 :

    http://antennes31.over-blog.com/pages/TLT_Interview_de_JC_Hebrard_Antennes_31-1799892.html




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  • Guide des bonnes pratiques

    Opérateurs -Association Maires de France



              En 2003, l’AFOM (Association Française des Opérateurs Mobiles) et l’AMF (Association des Maires de France) se rapprochent pour définir un cadre national de concertation afin de « proposer et d’appliquer sur tout le territoire français des pratiques permettant une installation concertée et transparente des antennes-relais ».

    Ces pratiques seront ensuite rassemblées dans un « guide des bonnes pratiques » dont voici quelques extraits :



    Ces extraits proviennent du site de l'AFOM (Association Française des Opérateurs Mobiles).



                « [...]Cinq principes clés ont guidé le travail de l’AMF et de l’AFOM, qui a abouti, en avril 2004, à la publication du Guide des bonnes pratiques entre Maires et Opérateurs :

     

                           Déploiement durable. Concilier des enjeux de nature différente : le bon fonctionnement de la téléphonie mobile, l’information des maires et de leurs administrés, la préservation des paysages, la prise en compte des préoccupations sanitaires de la population.

                           Prise en compte du contexte local. Permettre au maire et à l’opérateur de réseaux concerné d’anticiper l’accueil qui sera réservé au projet afin d’ajuster en conséquence le dispositif d’information et de concertation à mettre en oeuvre.

                      Information et dialogue le plus en amont possible. Chaque projet d’installation se réalise en plusieurs étapes : choix de l’emplacement, architecture, bail, autorisations administratives…. Plus tôt le dialogue est engagé, plus facilement les paramètres du projet peuvent évoluer, et mieux les interrogations de la population peuvent être prises en compte.[...] »


    « […] Concrètement, ce qui change avec le Guide des bonnes pratiques


                  *De nouvelles modalités de dialogue et de concertation entre les maires et les opérateurs


                                -Chaque maire peut avoir une vue d’ensemble sur les projets de déploiement de chaque opérateur de réseaux dans sa commune : état des lieux, schéma de déploiement prévisionnel.

                                -Il reçoit un dossier d’information en amont de chaque projet d’implantation ou de modification substantielle d’un site.


                  *Une information transparente à l’égard des administrés et des riverains d’antennes


                                -Tous les citoyens peuvent consulter les dossiers d’information déposés par les opérateurs de réseaux en mairie en amont de chaque projet.

                                -Tous les citoyens qui écrivent aux opérateurs reçoivent une réponse à leurs demandes d’informations dans un délai d’un mois.

                                -Le maire et l’opérateur décident ensemble des actions d’information et de dialogue les plus appropriées à l’attention de la population (réunions d’information publiques et / ou ciblées : élus, associations, bailleurs, copropriétaires, riverains).


                   *Des réponses objectives et concrètes aux questions du public sur l’exposition aux ondes radio

     

                                 -Tout citoyen peut connaître gratuitement son niveau d’exposition aux champs électromagnétiques et faire vérifier qu’il respecte bien les valeurs limites fixées par la réglementation en vigueur.

                                 -Ces mesures sont effectuées par des bureaux de contrôle indépendants et accrédités par le Comité français d’accréditation (COFRAC).

                                 -Les opérateurs prennent en charge financièrement les mesures et estimations de champs électromagnétiques qui leur sont demandées par écrit.


                   *L’intégration paysagère en concertation avec les maires pour toutes les nouvelles antennes


                                 -Pour chaque nouvelle antenne, les opérateurs de réseaux privilégient une solution d’intégration paysagère la plus adaptée au lieu d’implantation.

                                 -Ils s’attachent à regrouper leurs antennes sur un même emplacement et à utiliser en priorité les emplacements des antennes GSM pour les antennes UMTS. [...] »



    Pour lire le guide des bonnes pratiques qui uni opérateurs et AMF en intégralité se rendre à la page indiquée ci dessous :

    http://archive.afom.fr/v4/TEMPLATES/contenus_l2.php?rubrique_ID=160&rubLimit=160

     




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  • Les Élus du Capitole interpellent le gouvernement

     

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    Les Élus du Capitole interpellent le gouvernement


    Cet article est paru dans "20 minute" édition Toulouse le 20/12/2011




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  •  Le poids du boycott

     

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  • "Les Antennes en chanson"

     

                                      


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  • Colomiers, le Maire refuse l'installation d'une antenne relais

     

    Voici un article paru dans la Dépêche le 6 décembre 2011 :

     

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  • Les Maires peuvent encore agir !

     

    « Le Conseil d’État a pris une décision le 26 Octobre 2011 visant à limiter le pouvoir des Maires dans l'implantation d'antennes-relais.

               En réponse Robin des Toits a fait effectuer une analyse juridique pour aider les Maires et élus locaux à définir ce qu'il leur est encore possible de faire pour appliquer le Principe de Précaution en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques issues de la téléphonie mobile.

    Avant la décision du Conseil d’État, les Maires avaient deux moyens d'agir sur l'implantation des antennes-relais :

                                  PREMIÈRE VOIE - La voie de la réglementation générale :

              Définir à priori les règles du jeu, "pas d'antennes près des écoles" ou "pas plus de 0,6 V/m chez nous".
    Ce pouvoir, ils ne le tiennent d'aucun texte précis, mais il découle de leur pouvoir de police générale : sécurité, salubrité, tranquillité publique.

                                 DEUXIÈME VOIE - La voie de la décision individuelle :

             Les maires étant compétents en application du code de l'urbanisme et du code de la construction pour accorder (ou pas) les permis de construire et s'opposer (ou pas) aux déclarations de travaux.
    Ce pouvoir découle des textes.

    Le Conseil d’État a FERMÉ LA PREMIÈRE VOIE.

             Il considère qu'il existe un pouvoir de police spéciale suffisamment précis et complet, y compris du point de vue de la protection des populations contre l'exposition aux champs électromagnétiques (c'est là qu'il se trompe), pour tenir en échec le pouvoir de police générale du Maire.

     On peut regretter cependant que ce raisonnement aboutisse à aller à contre-courant de la politique de responsabilisation croissante des élus locaux, initiée avec la décentralisation de 1982 et toujours poursuivie depuis.

     Le retrait du pouvoir réglementaire sur l'implantation des antennes-relais des mains des Maires est un recul de la démocratie locale à laquelle tout le monde est attaché.

    Il est aussi contraire à la politique d'expérimentation de l'abaissement des seuils menée par le gouvernement.

    Maintenant regardons ce qui peut être tirer "positivement" de cette décision :

    LA DEUXIÈME VOIE N'EST PAS FERMÉE.
     

    Les Maires peuvent toujours refuser un permis de construire ou s'opposer à une déclaration de travaux.

    Leur pouvoir d'urbanisme n'est pas atteint :

            - le Conseil d’État reconnaît que le Principe de Précaution s'applique à toutes les décisions publiques (poursuite du raisonnement de l'arrêt des Hauts de Choiseul), donc on peut refuser un permis de construire au nom du Principe de Précaution.

           - le Conseil d’État admet qu'il y a un rôle de protection des populations contre l'exposition excessive aux champs électromagnétiques.

    Il est TRÈS IMPORTANT de noter que le Conseil d’État admet que dans la réglementation sur les antennes, il faut protéger la population.

    N'excluant pas l'hypothèse que la réglementation actuelle soit obsolète, puisqu'il écrit " à supposer même que les seuils actuels d'exposition ne tiendraient pas suffisamment compte des exigences du Principe de Précaution", il laisse donc la porte ouverte à l'idée qu'il faut revoir les normes.

    Simplement, il estime que ce rôle est suffisamment rempli par l'ANFR (Agence Nationale des Fréquences).

    Or, l'ANFR administre l'utilisation des fréquences et dépend du ministère de l'Industrie, mais elle n'a AUCUNE compétence dans le domaine sanitaire; l'ANFR ne dépend pas du ministère de la Santé.

    Dans les faits, même la voie réglementaire reste ouverte aux Maires, seulement "dans des cas exceptionnels" - à exploiter.

    Les Maires doivent comprendre que leur pouvoir de décision individuel sur les antennes-relais n'est pas atteint et que le Principe de Précaution s'y applique.

    Ils peuvent prendre attache avec l'ANFR pour voir, comment celle-ci compte prendre en charge cette mission de protection sanitaire, puisqu'elle en est maintenant officiellement investie !

    Quand ils auront un problème d'antennes, les Maires devront se tourner vers l'ANFR.

    Ils devront également réclamer auprès du gouvernement, soit une réglementation plus rigoureuse (qui sera appliquée par l'ANFR), soit un texte qui leur redonne le pouvoir réglementaire sur ce sujet.

    Le Conseil d’État ne se prononce que dans le silence des textes : une règle explicite redonnant leur pouvoir aux Maires rendrait la jurisprudence CADUQUE ! »

     

    Article paru le 7/11/11 sur le site de Robin des Toits :

    http://www.robindestoits.org/Antennes-relais-ce-que-peuvent-faire-les-Maires-robin-des-Toits-07-11-2011_a1362.html

     

     


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  • Les ondes électromagnétiques et maladie d'Alzheimer

    un lien existe

     

    Article paru sur france info le 21/11/11 :

    « Les études médicales confirment la dangerosité des antennes-relais »

     

                                       

     

               « Le mois dernier, l’Association Santé Environnement France, qui réunit plus de 2.500 médecins, a lancé une enquête pour évaluer l’impact des antennes-relais sur la santé des riverains. Aujourd’hui, l’association publie les résultats. Le doute n'est plus permis.


                 Acouphènes, troubles du sommeil, défauts de concentration : une enquête réalisé   e dans les Bouches-du-Rhône par l'association santé Environnement France (ASEF) relève des troubles supérieurs à la normale chez de nombreux riverains d'antennes-relais.
    Cette enquête diligentée par des medecins relance la polémique sur l'installation de ces antennes et leur dangerosité pour la santé des personnes qui vivent à proximité.


                Pour le professeur en cancérologie Dominique Belpomme, enseignant à l'université Paris-Descartes, directeur de l’Institut de recherche européen sur le cancer et l’environnement (Eceri) et président de l’Association pour la recherche thérapeutique anticancéreuse (Artac), "il est clair qu'il y a un lien entre les différentes pathologies énnoncées et l'environnement.(...) Six études internationales montrent qu'il y a un lien entre exposition prolongées aux champs électromagnétiques et maladie d'Alzheimer."
    Et d'ajouter que, "heureusement, le stade est réversible." Mais le professeur met également en garde : "Il faut que les pouvoirs publics prennent conscience de la gravité de la situation et fassent qu'on n'installe plus une antenne à côté d'une crèche ou d'une école". »

     

    Article tiré du site de France info:

    http://www.franceinfo.fr/societe-maladies/dossier-du-jour/les-etudes-medicales-confirment-la-dangerosite-des-antennes-relais-452637-2011-11-21




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  • Jugements français sur les antennes relais

     

    Ci dessous vous trouverez des extraits de trois jugements de Tribunaux de Grandes Instances français.

    Ils concernent les trois principaux opérateurs que sont Bouygues Télécom, SFR et Orange.

    Ces jugements ordonnent le démontage ou l'interdiction d'installation d'antenne relais de téléphonie mobile et ont été rendus en moins d'un mois.

     

    Il s'agit :

            -du Jugement de la Cour d'Appel de Versaille en date du 4/02/2009,

            -du Jugement du Tribunal de Grande Instance de Carpentras en date du 16/02/2009

            -du Jugement du Tribunal de Grande Instance d'Angers en date du 5/03/2009

     

    Cliquer le bouton en haut à droite de l'article pour l'afficher en plein écran.

                                   

     


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  •  

    "Les antennes en chanson" 

     

    Antennes au lieu dit Monge-Gazan


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