• « Récapitulatif du danger de la téléphonie mobile

    (portable, antenne-relais, Bluetooth, Wi-fi...) »

     

     

    « Argumentaire détaillé à l'attention de votre famille ou vos amis, voisins, collaborateurs ou médecin...

     

           Robin des Toits est une association nationale qui milite pour la sécurité sanitaire dans les technologies du sans-fil : portables, antennes-relais, wifi, wimax, baby phones, bluetooth etc. L'objectif de l'association est une réelle réglementation abaissant les normes d'exposition du public, obligeant les industriels à des études d'impact sanitaire avant tout lancement de nouvelle technologie et reconnaissant le handicap que représente l'électrohypersensibilité.

           L'association nationale Robin des Toits a donc pour mission de rechercher des technologies et des pratiques de communication sans fil respectueuses de la santé publique. Ce qui suppose une réglementation réelle centrée sur un maximum d'intensité en tous lieux de 0,6V/m pour les émissions de la téléphonie mobile GSM.

            Le programme de Robin des Toits comporte actuellement la proposition d'un moratoire sur la 3G (UMTS) et 4G jusqu'à diffusion d'un rapport scientifique crédible et l'interdiction légale pour les   émissions Wi-fi, FemToCell, Wimax, DECT et Bluetooth, pour lesquels la protection du public est impossible en raison de leurs caractéristiques techniques (fréquence, densité des données transmises...)
    Voir : http://www.robindestoits.org/attachment/115208/
    Robin des Toits réclame plus d’antennes GSM (2G), différentes des antennes actuelles, moins puissantes et concentrées sur la couverture des espaces extérieurs. 

    Ce programme a pour principaux axes :
          - augmentation du nombre de point d’émissions (antennes-relais) afin de réduire la surexposition des personnes habitants à proximité ;
         - établissement d'un réseau de zones à intensité plus faible garantie par l'Etat en raison du nombre croissant des personnes victimes d'EHS (électro-hypersensibilité) ;
        - diffusion par l'Etat, y compris en milieu scolaire de documents comportant la liste des risques et les moyens simples de protection individuelle. Affichage dans les points de vente de ce document.

            Robin des Toits n'est donc pas opposé aux antennes-relais et ne s'y oppose que dans la mesure où celles-ci dépassent 0,6V/m alors le gouvernement fixe la limite à 41V/m pour le GSM 900/1800.
    Robin des Toits est en revanche opposé au Wi-fi, FemToCell, Wimax, DECT, Bluetooth et 3/4G pour lesquels le seuil de 0,6V/m n'est pas applicable.

            Aujourd'hui, si les avis de l'OMS au niveau international et les agences de protection sanitaire en France et à l'étranger devraient suffire à limiter les intensités et à encadrer le déploiement de la téléphonie mobile, aucune instance gouvernementale dans le monde n'a entériné ce consensus scientifique.
    Ce vide juridique permet à l'industrie de ne subir aucune contrainte, comme à l'époque de l'amiante (qui d'ailleurs n'est pas été interdite dans tous les pays).
    Pire, ce sont les gouvernements et les agences officielles qui favorisent l'industrie de la téléphonie mobile en définissant des limites d'émissions basées sur l'effet de chaleur des micro-ondes, et non sur les effets spécifiques athermiques reconnus depuis les années 60, à l'époque des premiers radars. (Gouvernement Jospin 2002, Icnirp 1998 et 2009, OMS jusqu'à 2010, Afsse 2003 – 2005, Académie des Sciences et de Médecine 2009).

            Tout comme l'amiante avant 1997 en France, les lobbies industriels de la téléphonie mobile font régulièrement des études rassurantes, généralement financées par l'industrie elle-même.
    Des pressions sont exercées sur certains chercheurs qui trouvent des résultats qui ne vont pas dans le sens espérés par l'industrie quand d'autres agences ou fondation, inféodés à l'industrie, défendent la thèse de l'innocuité sanitaire.
    Voir : Mises en cause de l'expertise officielle sur les dangers de la téléphonie mobile

           Ainsi, dans un contexte où le chiffre d'affaire de cette industrie représente plus que l'aéronautique civil, militaire et le tabac et où aucune décision d'ampleur n'a été prise au niveau gouvernemental, il faut lire les avis des instances sanitaires internationales avec attention :

    • l'OMS a classé les ondes électromagnétiques type GSM et Wi-fi comme « possiblement cancérigène » (groupe « 2B »), à l'instar de la laine de verre, le bisphénol-A ou les vapeurs d'essence : http://www.robindestoits.org/_a1264.html
    • l'OMS a publié plusieurs études sur les antennes-relais depuis 2003 : http://www.robindestoits.org/_a600.html
    • l'Afsset (ancien ANSES), Agence Française de Sécurité Sanitaire et du Travail, recommande baisser les puissances des antennes-relais sur la base d'études incontestables sur la santé humaine : http://www.robindestoits.org/_a1014.html
    • Le conseil de l'Europe recommande la baisse des seuils à 0,6V/m puis 0,2V/m, résolution 1815 - mai 2011 : http://www.robindestoits.org/_a1246.html

             Ce vide juridique autour de la téléphonie mobile oblige les médecins à lancer des appels depuis 2002 pour mettre en garde contre la toxicité de cette technologie.
    Voir : http://www.robindestoits.org/_r27.html
    Des chercheurs comme le Pr HARDELL, auteur d'une étude du Programme Interphone sur les cancers du cerveau en 2007 (http://www.robindestoits.org/_a62.html ou le Pr ADLKOFFER, directeur du rapport REFLEX sur les brisures d'ADN sous exposition 3G en 2004 (www.robindestoits.org/_a158.html.robindestoits.org/_a158.html) ont du également prendre position contre les attaques qui leur étaient faite et alerter l'opinion sur le risque sanitaire de la téléphonie mobile. (Voir : http://www.robindestoits.org/_a533.html ; http://www.robindestoits.org/_a437.html

             Bien que ce fut le projet du Grenelle des Ondes, à l'issu du rapport de l'Afsset de 2009 (qui a déclaré la nécessité de poursuivre les études sur les effets athermique) et des procès gagnés contre les opérateurs, d'examiner la possibilité d'une baisse des seuils des antennes-relais, ce Grenelle n'a pas su imposer rapidement la mise en place de seuil-limite aux opérateurs dans le délai prévu d’un an et a entretenu une mécanique dilatoire comme pour l’amiante afin de préserver les intérêts financiers.

            Puis le Conseil d'Etat a voté l'interdiction pour les maires de s'opposer à l'implantation d'antennes sur la base du principe de précaution (bien que les maires puissent toujours s'opposer à la déclaration de travaux des antennes.
    Voir : Antennes-relais : ce que peuvent faire les Maires - Robin des Toits – 07/11/2011
    Cette loi est passée alors que des conflits d'intérêt ont été révélés concernant deux maîtres de requêtes du Conseil d'Etat ayant travaillé pour Bouygues Télécom, SFR. (Voir : http://www.robindestoits.org/_a1440.html

          A l'heure donc où aucune réglementation protectrice n'existe, le gouvernement et les industriels de téléphonie mobile prennent le parti de rejeter globalement l'idée d'un danger réel lié au déploiement de cette technologie. En face, une grande part des citoyens considèrent que puisque les ondes ne se voient pas, que la technologie est utile et qu'elle est le produit de ce que l'on appelle le progrès, utilisé par tous, il s'agit d'une pollution comme les autres, d'un « mal pour un bien » qui ne doit surtout pas remettre en cause leurs habitudes personnelles (Smartphone, Wi-fi, GSM...).
    Il s'agit donc d'un problème devant être résolu par des instances officielles ayant autorité... qui ne le font pas, afin de toujours promouvoir l’intérêt économique de l'industrie. Ainsi, les coutures du dossier de ce futur scandale sanitaire de la téléphonie mobile ressemblent à celles des autre scandales sanitaires tels le tabac, les conséquences de l'accident de Tchernobyl ou l'amiante.


          C'est pourquoi nous avons rassemblé pour vous, afin que vous puissiez convaincre vos proches de la toxicité sanitaire de la téléphonie mobile et de la nécessité de s'en protéger :

    A) les arguments permettant de démontrer la toxicité du groupe technologique de la téléphonie mobile

    B) les arguments démontrant la réalité physiologique et non psychosomatique de l'électro-hypersensibilité (EHS) 

    C) les critiques vis à vis des études biaisées d'innocuité sanitaire

    D) les critiques des études partisanes (industrie et gouvernement) qui nient l'EHS comme syndrome physiologique »


     

    La suite de l'article ici :

    http://www.robindestoits.org/Recapitualtif-du-danger-de-la-telephonie-mobile-portable-antenne-relais-Bluetooth-Wi-fi_a1520.html

     

     

     


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  • "Tablettes pour enfants : la mauvaise idée de cadeau de Noël"

    - Le Point - 21/11/2013

     

             "La liste de l'impact négatif des écrans tactiles sur la santé a beau s'allonger, ceux-ci sont désormais en bonne place dans les catalogues de jouets.

             Il y a fort à parier que cette année encore, les tablettes numériques figureront en bonne place sur la lettre au Père Noël de nombreux enfants. D'autant qu'elles ont désormais leur rubrique dédiée dans les catalogues de jouets et que dès 18 mois, bébé peut avoir son propre mini-écran ! Et pourtant : s'ils sont présentés comme éducatifs, ces jouets nouvelle génération ne font pas l'unanimité et bon nombre de professionnels ou d'associations s'inquiètent de leur introduction trop précoce dans la vie du jeune enfant.

                    Impact sur le développement moteur des mains

           C'est d'abord le temps d'exposition qui est incriminé. Plus les enfants passent de temps devant les écrans (tous types confondus), plus le risque de développer des maladies à l'âge adulte augmente (hypertension, diabète, maladies cardiaques, surpoids...), en raison d'une sédentarité très mal adaptée pour leur âge. Les mauvaises postures sont également pointées du doigt : des chercheurs de Harvard ont ainsi mis en garde sur les risques de torticolis et de douleurs musculaires que les tablettes peuvent engendrer, du fait de leur manipulation. Pour limiter les dégâts, ils recommandent d'utiliser ces écrans sur une table à bonne hauteur.

            Tout récemment, d'autres chercheurs américains ont commencé à s'alerter des effets du tactile sur le développement moteur des mains et des doigts des enfants : ces derniers n'utiliseraient plus suffisamment les muscles nécessaires à l'apprentissage de l'écriture. Enfin, des troubles du sommeil sont également à craindre (comme pour les adultes d'ailleurs) : outre l'excitation ou l'énervement que les tablettes peuvent induire, la lumière bleue qu'elles émettent affecterait la mélatonine, l'hormone du sommeil. Deux heures d'exposition entraîneraient une chute de plus de 20 % de la précieuse hormone. Les professionnels conseillent donc d'éviter une utilisation en fin de journée, quand le corps commence à se préparer pour la nuit (plusieurs heures avant le coucher).

                  Échec à une pensée organisée et logique

            Les répercussions psychologiques sont aussi démontrées. Il y a quelques mois, l'Académie des sciences émettait un avis complet sur l'utilisation des écrans pour les enfants. Si l'institution reconnaissait leurs avantages pédagogiques, elle mettait néanmoins en garde sur leur irruption trop précoce dans la vie des mineurs. Le psychiatre Serge Tisseron, coauteur de cette étude, explique qu'avant six ans il faut éviter toute tablette personnelle (ou console) car l'enfant doit d'abord mettre en place ses repères réels dans l'espace et dans le temps avant de pouvoir plonger dans le virtuel. Cela passe surtout par l'intégration des sens : voir, entendre, toucher et bouger.

           "À cet âge, le jeune enfant a besoin en priorité d'autres choses que d'écrans, explique le Dr Tisseron. Si ceux-ci prennent trop tôt la place des activités traditionnelles, l'enfant risque d'être fragilisé et d'échouer à construire une pensée organisée et logique. Le meilleur apprentissage reste l'histoire du soir". À partir de quatre ans, une initiation occasionnelle en présence des parents peut être éventuellement envisagée, mais il faudra attendre six ans avant de laisser l'enfant jouer seul (et ponctuellement), car, avant cet âge, le jeu peut devenir rapidement compulsif.

               Rayonnement électromagnétique
          

           Mais le plus inquiétant demeure l'impact des ondes sur la santé. D'autant que si les téléphones portables ont l'obligation d'indiquer leur niveau d'exposition (DAS), ce n'est pas le cas des tablettes. On arrive ainsi à une situation paradoxale : alors que les publicités pour les téléphones portables sont interdites auprès des moins de 14 ans, promouvoir des tablettes pour les 3-4 ans est tout à fait légal !

          Une situation jugée scandaleuse par l'association Robin des toits qui milite pour la sécurité sanitaire des technologies sans fil depuis de nombreuses années. "Ces objets exposent les enfants à un rayonnement électromagnétique préjudiciable à leur santé. L'épaisseur réduite de leurs tissus, qui favorise une pénétration plus profonde des ondes, la durée accrue de leur exposition au cours de leur vie font que les risques, mis en évidence pour les adultes de manière établie, sont encore plus importants dans leur cas", explique l'association dans une lettre adressée à Marisol Touraine le 13 novembre dernier, lui enjoignant de prendre un arrêté pour interdire les tablettes Internet pour enfants et autres jouets connectés. Forts de toutes ces mises en garde, les parents réfractaires vont devoir s'armer de courage et faire preuve d'ingéniosité pour négocier la liste au Père Noël !"

                                                                                                                                                                Sophie Bartczak



    Source :

    http://www.lepoint.fr/sante/tablettes-pour-enfants-la-mauvaise-idee-de-cadeau-de-noel-21-11-2013-1759405_40.php

     

     

     


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  •  "Les effets nocifs des compteurs intelligents reconnus"

    - Maison du 21e Siècle - 13/11/2013

      

             "Un médecin de famille australien vient de documenter rigoureusement 92 cas de patients atteints de symptômes d’électrosensibilité survenus après l’installation d’un compteur d’électricité émettant des radiofréquences (RF). Première mondiale, l’étude de cas de la Dre Federica Lamech est « scientifiquement valide » et « montre clairement les effets néfastes des émissions de compteurs intelligents sur la santé de la population humaine », concluait le 23 octobre le conseil d’administration de l’American Academy of Environmental Medicine (AAEM). Association internationale fondée en 1965, l’AAEM regroupe des médecins et autres professionnels de la santé qui s’intéressent aux liens complexes entre la qualité de l’environnement (l’air, l’eau et la nourriture) et l’état de santé.

     

             Souvent appelés compteurs intelligents, les compteurs nouvelle génération transmettent aux services publics les informations sur les quantités d’électricité, de gaz ou d’eau consommées dans les immeubles. La transmission de cette information se fait sans fil, à l’aide de radiofréquences de type micro-ondes (typiquement de 900 mégahertz et de 2,4 gigahertz), comme celles émises par les téléphones cellulaires et autres appareils sans fil.

     

             Ces appareils seraient sécuritaires, selon Santé Canada. Un avis publié par l’Institut national de santé publique du Québec affirme que : « Les niveaux d’exposition extrêmement faibles des radiofréquences (RF) provenant des compteurs intelligents et les connaissances scientifiques actuelles sur les RF et la santé indiquent que ces appareils ne posent pas de risques pour la santé. »

     

            Pourtant, alors que ces compteurs sont installés à grande échelle depuis seulement quelques années, des médecins du monde entier traitent des patients qui signalent des problèmes de santé débilitants apparus après leur installation. Ces compteurs émettent des RF pulsées, généralement aux 30 secondes et en continu. Les RF sont une forme de champs électromagnétiques (CEM) qui fut classée « peut-être cancérogènes » en 2011 par le Centre international de recherches sur le cancer, relevant de l’Organisation mondiale de la santé.

     

           Comme l’affirme l’AAEM : « La littérature scientifique révisée par des pairs démontre la corrélation entre l’exposition aux CEM/RF et des maladies neurologiques, cardiaques et pulmonaires ainsi que des troubles de la reproduction, la dysfonction immunitaire, le cancer et d’autres problèmes de santé. La preuve est irréfutable. »

     

            Les symptômes rapportés dans cette série de cas sont étroitement corrélés non seulement avec les résultats cliniques des médecins de l’environnement, mais aussi avec la littérature scientifique, ajoute l’organisme. Les symptômes observés (fatigue, maux de tête, palpitations cardiaques, étourdissements, etc.) ont pu être déclenchés en laboratoire par l’exposition au CEM dans des conditions contrôlées (à double insu et avec exposition placebo) : ni les patients, ni les chercheurs ne savaient qui était exposé ou non aux CEM. « Les symptômes observés dans cette série de cas sont aussi en corrélation avec les lignes directrices de l’Association médicale autrichienne pour le diagnostic et le traitement des problèmes de santé liés aux CEM. »

     

           L’AEEM ajoute qu’il est extrêmement important de noter que la grande majorité des 92 patients australiens n’étaient pas électrohypersensibles avant l’installation du compteur nouvelle génération. La Dre Lamech conclut que les compteurs intelligents « peuvent avoir des caractéristiques uniques qui abaissent le seuil de développement des symptômes des gens ».

     

            Un avis partagé par de nombreux experts internationaux en effets sanitaires des CEM : ce seraient les pulsations émises 24 heures sur 24 ainsi que les hautes fréquences transitoires (une forme d’interférence) produites par ces compteurs qui épuiseraient le système nerveux de certaines personnes, expliquaient en 2012 le Dr David O. Carpenter et ses collègues dans une « réplique à la désinformation » circulant au sujet des compteurs intelligents. Dans la plupart des cas, les personnes atteintes étaient déjà très exposées à des RF émises par des appareils sans fil et des antennes avant de vivre plusieurs heures par jour à proximité de ces compteurs.

     

    Sur la base des conclusions de cette étude de 92 cas, l’AAEM réclame:

    - Des recherches plus poussées sur les effets des compteurs intelligents sur la santé;

    - De l’hébergement sécuritaire pour les personnes malades à cause de ces compteurs numériques;

    - L’évitement des RF émises par les compteurs intelligents fondés sur des considérations de santé, y compris la possibilité de conserver son compteur analogique (électromécanique);

    - Un moratoire sur l’installation des compteurs intelligents et la mise en œuvre d’une technologie plus sécuritaire;

    - La prise en compte par les médecins et autres professionnels de la santé du rôle des CEM/RF dans le développement, le diagnostic et le traitement des maladies de leurs patients.

     

    Les détails de l’étude de cas de la Dre Lamech seront rendus publics au moment d’être publiés par une revue scientifique révisée par des pairs."

     

    Source :

    http://www.robindestoits.org/Les-effets-nocifs-des-compteurs-intelligents-reconnus-Maison-du-21e-Siecle-13-11-2013_a2103.html

     


    Vous trouverez sur le site de Robin des Toits à l'adresse indiquée ci-dessous une lettre type de refus d'installation des compteurs dits "intelligents" :

    http://www.robindestoits.org/Lettre-type-de-REFUS-d-installation-du-compteur-d-eau-ou-gaz-a-telereleve-Robin-des-Toits-Nov-2013_a2102.html

     

     

     


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