• Info

    Robin des Toits national vient de nous prévenir que la 4G allait être installée

    sur le château d'eau de Pibrac.

     

                   "Après les technologies 2G (GSM) et 3G (UMTS), la 4G (LTE, ou Long term evolution) constitue le prochain « saut technologique » attendu dans la téléphonie mobile et, à ce titre, l'enjeu majeur pour l'aménagement de nos territoires dans son volet mobile. Permettant des débits théoriques jusqu'à une centaine de Mbit/s, la 4G ouvrira l'accès aux « nouveaux usages » du numérique (téléchargement de vidéos haute définition, visiophonie ...) de façon fluide et en situation de mobilité."

     

    "Des antennes annoncées 3G vont en fait être remplacées par des 4G,

    aux ondes beaucoup plus pénétrantes

    (en gros 800MHZ) , passant 2 murs intérieurs et pouvant porter à 50km."

     

     


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  • "Santé environnementale :

    des ONG interpellent les candidats à l'Élysée"


    paru sur Mediapart le 16/04/2012

                 « Mediator, bisphénol A, amiante, pesticides... Autant de scandales sanitaires qui, selon des ONG, appellent à la refonte totale du système de veille et de contrôle sanitaire. Cinq d’entre elles ont, lundi 16 avril, interpellé les candidats à l’élection présidentielle autour de leurs 25 propositions.

                   Presque tous les partis ont répondu à l’appel : le Modem, le PS, Europe Ecologie-Les Verts, le Front de gauche et l’UMP. A moins d’une semaine du premier tour de l’élection présidentielle et alors que les questions de santé environnementale ont été absentes du débat, les représentants des candidats sont venus, dans une salle du Sénat, affirmer leurs soutiens à l’initiative de Robin des toits, Génération futures, Ecologie sans frontière, Respire et du Réseau environnement santé.
    « C’est très positif, cela montre qu’il y a une sensibilisation croissante des partis politiques sur les questions de santé et d’environnement», se félicite André Cicocella, du Réseau environnement santé et chercheur en évaluation des risques sanitaires à l’Ineris (Institut national de l'environnement industriel et des risques), qui se dit «convaincu que le prochain quinquennat sera celui des réformes». «On ne nous refera pas le coup (du Grenelle)», assure-t-il, fustigeant l'annulation de la création d'un institut de veille environnementale pourtant prévue par le Grenelle.

                    Les scandales sanitaires ne «sont pas dus à de malheureux concours de circonstances, mais sont la conséquence d’un système. C’est ce système qu’il faut réformer pour mettre fin à ces scandales», affirment les ONG. Elles proposent notamment de mettre fin aux conflits d’intérêts au sein des organes de contrôle et d'expertise sur les sujets de santé environnementale, donnant en exemple le Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique (Citepa), dont le conseil d’administration est «composé à 65 %» de membres de l’industrie automobile, pétrolière, énergétique. Les ONG prônent la transformation des EPIC (Etablissements publics à caractère industriel et commercial) et des associations ayant une mission de service public d’expertise en EPA (Etablissement public à caractère administratif) afin d'assurer aux expertises une totale indépendance. Les associations écologistes demandent également la création d’un institut de veille environnementale, l’ajout systématique d’un volet environnement à tous les plans des pathologies (Alzheimer, obésité, autisme...) afin de prendre en compte les liens possibles entre ces maladies et l’environnement, la création auprès des tribunaux d’un pôle de santé publique et de procureur spécialisé dans la délinquance en santé environnementale. »


    Pour voir les 25 propositions, cliquez sur le lien ci-dessous

    Les 25 propositons des ong.pdf »


    Source : 

    http://www.mediapart.fr/journal/france/160412/sante-environnementale-des-ong-interpellent-les-candidats-lelysee


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  • Manisfestation à Dax

    le samedi 31 mars 2012

     

    Publié le 02/04/2012 dans Sud ouest :

    "Les collectifs contre l'implantation tous azimuts des antennes relais se sont manifestés samedi.


    Manisfestation à Dax

    Les manifestants sont venus de toutes les Landes. (photo loïc dequier)

     

               Ils ne sont pas passés inaperçus samedi matin dans les allées du marché de Dax, même s'ils se sont retrouvés une poignée à pique-niquer dans le square face à l'hôtel de ville, vêtus d'un tee-shirt noir annonçant la couleur, jaune : « Stop aux ondes électromaléfrics ».

              Et c'était le but : faire du bruit, se faire voir, pour évoquer la possible nocivité des ondes électromagnétiques qui nous entourent, de téléphones portables en ordinateurs et tablettes numériques. Emmenés par l'association Maas Vie et progrès qui ferraille depuis deux ans contre l'installation d'un pylône SFR dans un quartier à Pouillon, les militants agissaient dans le cadre de « la coordination nationale des collectifs contre l'implantation tous azimuts des antennes-relais ».

    « Nous sommes des lanceurs d'alerte », estime Pierre Boulet, à la tête du collectif pouillonnais.

    « Nous anticipons le scandale de santé publique qui risque d'éclater si les pouvoirs publics ne légifèrent pas. »

    Conseil européen

             À l'appui de leur argumentaire, la résolution 1 815 du conseil de l'Europe qui pointe « l'absence de réaction » des États membres face aux risques environnementaux et sanitaires connus ou émergents » et recommande « de fixer un seuil de prévention pour les niveaux d'exposition à long terme […] à 0,6 volt par mètre, et de le ramener à moyen terme à 0,2 volt par mètre ». Parmi les manifestants, la conseillère régionale Europe écologie les verts, Marie Bové qui demande le respect du « principe de précaution » : « En matière de législation, la France fait figure de dinosaure en n'écoutant pas les préconisations européennes, puisque les seuils autorisés sont 100 fois supérieurs, de 41 à 61 volts par mètre. Nous sommes dans une monarchie républicaine où les décisions sont prises sans les élus et les citoyens ! » La conseillère régionale dénonce notamment l'arrêt du conseil d'État du 26 octobre 2011, qui, avec l'aval du ministère en charge de l'industrie et de l'économie numérique, octroie aux « seules autorités de l'État la compétence pour réglementer l'implantation des antennes-relais ». Une façon selon Marie Bové de cultiver « l'opacité et les petits arrangements entre amis et opérateurs. »"

    Par Emma Saint-Genez


    Source :

    http://www.sudouest.fr/2012/04/02/nous-anticipons-le-scandale-675998-706.php



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  • Qu'en est-il à Aussonne?

     

    Article publié sur la dépêche le 31/03/2012 :

     


    Le château d'eau et les antennes relais./Photo DDM, R. C.

     

    Lors de la réunion mensuelle, l'association Aussonne Environnement a discuté principalement de trois actions. [...]

                Les ondes électromagnétiques : De nombreuses actions sur le thème : « Ondes électromagnétiques et santé » (des ondes générées par les lignes EDF aux ondes des radars) sont menées par l'association et notamment par le président de l'association M.Masson spécialiste en hyperfréquences.

               Des actions sont en cours concernant les antennes relais situées Route du Château d'eau : L'ANFR (Agence nationale des fréquences) a été contactée et confirme la croissance du niveau ambiant de champ électromagnétique lié aux antennes relais depuis 1994. Cette agence vient de fournir à Monsieur Masson des informations techniques qu'il est en train de consulter.

             Une lettre a été envoyée à la CADA (commission d'accès aux documents administratifs) pour obtenir l'accès aux informations des opérateurs.

             Plus de cinq cent signatures ont été recueillies suite à une pétition demandant le déplacement des antennes relais sur un site communal éloigné de toutes maisons d'habitations dans un rayon de plus de 500 m. Les riverains ont ainsi pu être informés sur les niveaux limites d'exposition (de 41 à 61 Volt/mètre en France). Cette demande avait été remise au premier adjoint au maire lors de l'assemblée générale de Janvier.

            Des rencontres avec la municipalité ont eu lieu, une lettre ouverte a été adressée au préfet demandant la saisie ou la création d'une instance de concertation départementale pour mettre un terme aux risques sanitaires et résoudre les problèmes sécuritaires. Afin de mieux s'informer, des membres de l'association ont assisté à des conférences organisées par le centre de recherche et d'information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques non ionisants. L'association prévoit de faire réaliser des mesures par un cabinet accrédité COFRAC. Prochaine réunion le 11 avril à 20 h 30 salle N° 3.

    Source :

    http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/31/1319767-aussonne-environnement-les-actions-en-cours.html

     

     


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