•  Comment gérer à la fois

    concurrence et riverains



             « L'Autorité de la concurrence suggère d'encadrer les informations diffusées par l'Agence nationale des fréquences, afin qu'elles n'affectent pas la stratégie de déploiement des antennes-relais d'un opérateur de télécommunication. L'Autorité de la concurrence prévient cependant que ses suggestions ne doivent pas pour autant brider le droit à l'information du public.

              Pour déployer heureux, déployons cachés. C'est, en somme, ce qu'a préconisé l'Autorité de la concurrence dans son avis sur l'installation des antennes-relais. L'autorité administrative indépendante a en effet estimé que la stratégie de déploiement des opérateurs de téléphonie mobile est actuellement beaucoup trop accessible aux sociétés rivales. Une situation qui doit cesser pour ne pas fausser la concurrence.

     

                     Encadrer ou limiter la diffusion des informations

             L'Autorité recommande pour cela de limiter la possibilité pour chaque opérateur d'accéder à des informations stratégiques de ses concurrents. Comment ? En modifiant la façon dont l'Agence nationale des fréquences (ANFR) diffuse les informations collectées sur toute nouvelle station radioélectrique implantée en France... y compris les antennes-relais des sociétés de télécommunications.

             Dans la mesure où l'ANFR coordonne et valide l'installation des stations radioélectriques, elle a accès à de nombreuses caractéristiques : type et hauteur de l'antenne, puissance d'émission, fréquence utilisée, adresse du site de l'installation. Autant d'informations qui peuvent être particulièrement utiles. Un opérateur pourrait ainsi s'en servir pour mettre des bâtons dans les roues à un concurrent.

             Or, l'Autorité estime que cette profusion de données pose non seulement des problèmes de concurrence mais va jusqu'à modifier en profondeur la stratégie de déploiement d'un opérateur. Elle craint que "les opérateurs ne déterminent plus leur politique de déploiement de façon autonome mais l'adaptent en fonction de celle arrêtée par leurs concurrents".

     

                     L'information du public risque d'être affectée

              Il est donc essentiel d'encadrer l'accès et limiter la diffusion des informations collectées par l'ANFR afin de s'assurer que les opérateurs ne déploient pas leurs antennes-relais en fonction des choix des concurrents. Cependant, ces restrictions nouvelles ne doivent pas se mettre en place au détriment de l'information du public, d'autant que les champs électromagnétiques de radiofréquence sont une source d'inquiétude.

          L'Autorité de la concurrence propose ainsi de mettre à jour les informations "seulement au moment de la mise en service des installations et ce, pour éviter que les opérateurs n'utilisent ces données afin d'anticiper la stratégie de leurs concurrents", "si l'ANFR considère que cela est compatible avec la mission d'information générale du public" précise l'autorité administrative.

              Reste à savoir si la rétention d'information jusqu'au lancement effectif d'une antenne-relais ne posera pas quelques problèmes pour les riverains, surtout s'ils souhaitent avoir des éléments à mettre en avant en cas d'action en justice. En effet, les craintes concernant l'impact des ondes sur la santé humaine ont été à l'origine de nombreuses actions en justice, menant parfois à des retraits d'antennes-relais. [...]

             Avec ces nouvelles mesures, l'Autorité de la concurrence espère que les opérateurs orienteront leurs priorités non plus en fonction des autres mais en fonction d'autres critères comme la couverture du territoire ou la qualité du réseau. Des critères d'autant plus importants avec l'arrivée des réseaux de quatrième génération, qui ne couvriront l'ensemble des mobinautes français que dans une quinzaine d'années."

     

    Article publié le 20 Décembre 2011

     

    Source :

    http://www.numerama.com/magazine/20996-l-installation-des-antennes-relais-doit-etre-cachee-a-la-concurrence.html

     


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  • Free mobile: Les nouvelles antennes inquiètent les maires

    L'offre de Free Mobile

    Article paru dans www.francesoir.fr le 14/03/2012



             Les maires s'inquiètent du prochain déploiement de nouvelles antennes Free d'ici la fin de l'année. Ils réclament à l'Etat de jouer son rôle d'arbitre.

             Dans les faits, les élus se plaignant de ne pas disposer de pouvoirs de réglementation sur la question des antennes-relais, indique  ce mercredi Europe1. Craignant les réactions de riverains, ils demandent, selon la radio, à l'Etat, seule autorité compétente pour réglementer l’implantation des antennes-relais de téléphonie mobile, d'assumer son rôle.

             Les maires souhaitent que soient appliquées les mesures préconisées par le Grenelle des ondes en mai 2009. En résumé, que la tenue de réunions publiques organisées par les opérateurs soient présidées par un représentant de l’Etat. Que les dossiers déposés en mairie par les opérateurs soient assortis d’une simulation d’exposition aux ondes magnétiques pour répondre aux inquiétudes des riverains. Et qu'une réflexion soit menée pour imposer davantage de mutualisation, notamment au sein des grandes agglomérations où les capacités d’accueil des antennes relais sont limitées, poursuit Europe1.

    Iliad veut consacrer 250 millions d'euros à l'extension de ses infrastructures

            Quoiqu'il arrive, ces questions seront débattues le 4 avril prochain à Valence lors d’un colloque organisé par l’Association des maires des grandes villes de France. Des questions légitimes quand on sait que Free, entré avec fracas en janvier sur le marché de la téléphonie mobile, a promis jeudi dernier de mettre le paquet en 2012 pour développer ses infrastructures et faire « monter en puissance » un réseau qui utilise encore très largement celui d'Orange pour acheminer son trafic.

            En 2012, Iliad, la maison mère, prévoit de consacrer 250 millions d'euros à l'extension de ses infrastructures mobiles, contre 142 millions l'an passé et 20 millions en 2010. L'objectif étant d' « intensifier le déploiement, afin de disposer de 2.500 sites (antennes) équipés à fin 2012 », contre les quelque 900 actuellement en service ou prêts à émettre, et sur un total de 6.000 que le groupe entend à terme installer. Tout un programme.

     

    Source :

    http://www.francesoir.fr/loisirs/nouvelles-techno/free-inquietudes-des-maires-face-au-developpement-des-antennes-free-196536.html

     


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  •  Exposition aux ondes et conséquences sur les profils hormonaux de l'homme

     

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  • Intolérance aux ondes : réalité ou fiction ?



    « Le 15 février 2012, en collaboration avec l'INERIS et l'ANSES, l'Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (APHP)vient d'annoncer la mise en place, sous la conduite du Pr CHOUDAT d'une enquête sur l'intolérance aux ondes électromagnétiques.

    Avec pour postulat de départ que cette souffrance est exclusivement psychogène. »

     

     

    Satire

     

     

    Voir également l'article sur le même sujet :

    http://antennemondonville.eklablog.com/emission-de-france-inter-sur-l-ehs-a41900875

     

    Source :

    http://www.robindestoits.org/Mais-pourquoi-donc-une-psychiatrisation-progressive-des-electrohypersensibles-EHS-27-02-2012_a1462.html

     

     


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  • "Israël : attention, téléphoner tue"

    Paru dans L'Express le 14/03/2012

     

    "Cela permet de faire entrer cette notion de risque dans l'esprit des gens."

    REUTERS/Luke MacGregor

     

         Chaque portable vendu dans l'Etat hébreu devra désormais porter un message avertissant des risques de cancer. Etienne Cendrier, porte-parole de l'association "Robin des Toits" voit en Israël "un exemple à suivre" pour la France.

         Le parlement israélien a voté le 1er mars une loi visant à sensibiliser aux risques de cancer liés à l'utilisation des téléphones sans fil. A l'image des paquets de cigarettes, tout portable vendu en Israël devra désormais porter un message d'avertissement: "Attention - le ministère de la Santé met en garde sur le fait que l'utilisation massive, ainsi que le port de cet appareil près du corps, peut augmenter le risque de cancer, surtout chez les enfants". Une première. Portée par deux députés, le communiste Dov Khenin et la centriste Yulia Shamalov Berkovich (du parti Kadima), la loi a remporté l'approbation générale de la Knesset, le parlement israélien. Plusieurs études visant à démontrer la nocivité des ondes électromagnétiques ont été menées en Israël ces dernières années.

    Etienne Cendrier, porte-parole de l'association "Robin des Toits", voit en Israël "un exemple à suivre" pour la France.  

                                                                                         Entretien.

     

               Comment réagissez-vous à la décision du parlement israélien?

            C'est une bonne nouvelle, un exemple à suivre. Pour moi, le lobby exercé par les opérateurs n'a certainement pas réussi à empêcher le vote de cette loi. Par ailleurs, Israël, tout comme la Suède, fait partie des pays les plus impliqués par la question du risque causé par les ondes électromagnétiques.

              Une telle mesure est-elle envisageable en France?

          La loi du 12 juillet 2010, dite Grenelle 2, interdit l'utilisation et la commercialisation des appareils sans fils pour tous les enfants de moins de six ans. Le souci, c'est que cette loi n'a jamais été promulguée. Lorsqu'elle était députée puis secrétaire d'Etat à l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet s'intéressait beaucoup à la question du danger pour la santé que représente l'utilisation des téléphones portables. Devenue ministre de l'environnement, elle a subitement été frappée d'amnésie.

             Quelles sont les solutions prônées par votre association?

          Nous souhaitons l'application du Grenelle 2, mais aussi que les femmes enceintes soient mieux informées des risques qu'elles encourent. A l'image d'Israël, nous souhaitons que chaque mobile vendu chez nous puisse comporter une notice d'avertissement.

             Quels sont les effets de ce type de campagne?

         C'est un premier pas. Cela permet de faire entrer cette notion de risque dans l'esprit des gens. La plupart d'entre eux font "joujou" avec leur appareil, sans se préoccuper du reste. Avec une étiquette d'avertissement, cela permet de rappeler que tout cela n'est pas sans incidence sur la santé.

     

     

    Source :

    http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/israel-attention-telephoner tue_1093124.html




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  • « Téléphoner tue : première étape franchie pour la loi sur les risques sanitaires liés à la téléphonie mobile en Israël »



    Article publié le 01/03/2012 sur le site haaretz.com

          « Une loi requérant tous les téléphones portables vendus en Israël de porter une mention relative au danger pour la santé a passé la première des trois étapes menant au vote mercredi dernier.

             La loi, soutenue par Dov Khenin du parti Hadash (parti de gauche juif et arabe) et Yulia Shamalov Berkovich du parti Kadima (centre droite juive) a remporté l'unanimité au parlement. Elle requiert que toutes les publicités faites pour la téléphonie mobile présentent également une mise en garde.

            Même si les membres du parlement ne se jugent pas compétents pour traiter ce problème d'un point de vue scientifique, certains suspectent que l'utilisation abusive du téléphone portable puisse causer des cancers, tout particulièrement chez les enfants. Les plus jeunes sont plus vulnérables aux agents cancérogènes à cause de leur taux de division cellulaire plus élevé.

             Sur les étiquettes sera portée la mention : "MISE EN GARDE - Le ministère de la santé avertit que l'utilisation abusive et le port près du corps de l'appareil peut promouvoir le risque de cancers, tout particulièrement chez les enfants" . De la même manière, tout comme pour les cigarettes, toute publicité visant les mineurs serait interdite au nom de la loi, et enfreindre la loi serait passible de crime.

            "La loi qui a été promulguée aujourd'hui est un avènement dans la prise de conscience publique des risques possibles liés à l'utilisation du téléphone portable" dit Khenin hier à l'issue du vote. Etant donné les "résultats inquiétants" d'une série d'études israéliennes et internationales, dit-il, il imcombe au gouvernement d'informer le public des risques possibles. Tout le monde doit être plus prudent en utilisant le téléphone portable, dit-il, et les enfants doivent tout particulièrement être protégés.

            Le Forum des Compagnies de Téléphonie Mobile a répondu adhérer à toutes les directives de sécurité proposées par le ministère de la santé et de la protection de l'environnement. "Au-delà de ceci, nous croyons que de nouvelles initiatives et recommandations dans le domaine de la santé publique doivent être communiquées par les professionnels du secteur, en se basant sur les données scientifiques provenant d'Israël et d'autres pays du monde." »

     

    Source :

    http://www.robindestoits.org/Telephoner-tue-premiere-etape-franchie-pour-la-loi-sur-les-risques-sanitaires-lies-a-la-telephonie-mobile-en-Israel_a1473.html

     


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  • Pourquoi le nombre de personnes atteintes

    d’une maladie neurodégénérative explose-t-il ?



              Le lien entre l'exposition constante à quantité de neurotoxiques présents dans notre environnement sous de nombreuses formes et le développement exponentiel de maladies neurodégénératives est aujourd'hui établi.

              À l'heure où les connaissances scientifiques sont plus poussées que jamais, on peut légitimement se questionner sur l'inertie des pouvoirs publics face à se qui se révélera probablement être un véritable scandale sanitaire.

              Non seulement nous sommes exposés, à notre insu, à de plus en plus de substances hautement toxiques mais cela se cumule à l'effet des ondes sur la barrière hémato-encéphalique qui prive ainsi le cerveau de sa protection naturelle.



    Pour en savoir plus,

    sortie aux éditions Actes Sud du livre :

    « Menace sur nos neurones - Alzheimer, Parkinson... Et ceux qui en profitent »

    Une enquête-événement de Marie Grosman et Roger Lenglet




    Pour un aperçu du contenu, voir la Vidéo :

    http://www.actes-sud.fr/menace-sur-nos-neurones

     

     

     


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  • Une fausse bonne solution!

     

     

    « Qu’est ce que le (ou les) Courant Porteur en Ligne appelé CPL ?
    (ou PLC: PowerLine Communication - PLT: PowerLine Telecommunication - PPC: Power Plus Communications).

             C’est une technologie qui consiste à transporter par les câbles de distribution de l’électricité, donc en passant par votre compteur électrique, un signal de modulation bas ou haut débit de Haute Fréquence de 1,6 MHz à 34 MHz  en le superposant au signal basse fréquence 50 Hz du courant électrique.

             Ce signal Haute Fréquence permet de transmettre des données numériques d’un débit de transfert théorique de l’ordre de plusieurs dizaines de Mbits entre une phase et le neutre de l’installation électrique domestique suivant la configuration de l’architecture des câbles des réseaux électriques qui sont en général non blindés. […]

     

    Le problème environnemental majeur du CPL :

     

    Les câbles du réseau électrique n’ont pas été conçus à l’origine pour transporter des signaux Hautes Fréquences !

    - Exemple de câble industriel multi-brins standard non isolé et isolé (non blindé) -

    Les câbles électriques standards existants sont en principe totalement inadaptés, c'est-à-dire non blindés pour empêcher leurs rayonnements à l’intérieur des bâtiments (réseau privé domestique), mais aussi à l’extérieur.

    En conséquence mettre un courant dit CPL dans des câbles non blindés, c’est créer une nouvelle source de pollution en rayonnements (irradiations) Hautes Fréquences conséquente dans l’environnement en général, mais aussi dans tout son lieu de vie et celui de ses voisins.


    - Exemple de câble industriel multi-brins Une Paire blindé -


    […]

    Le CPL est donc un pollueur dont il faut confiner les rayonnements permanents HF générés par des câbles blindés.

     

    [...]       Dans la problématique du CPL nous "mettons en garde concernant les CEM" tous les Opérateurs de télécommunication par CPL, tous ceux qui utilisent ou vont utiliser cette technologie notamment EDF et ses filliales, afin qu’ils aient une réelle prise de conscience des dangers que représente une généralisation des rayonnements HF issu du CPL par le réseau de distribution sans mesures d'accompagnements physiques de la distribution, ceci quelque soit les puissances. [...]



             Par exemple indoor, la généralisation des compteurs électriques [ dit « intelligents »] utilisant la technologie CPL provoquera à terme un maillage dense de part la " toile d'araignée" que représente le réseau de distribution d’électricité porteuse de Hautes Fréquences sur tout un territoire.

             Malgré l’utilisation dans les zones urbaines souvent en façades d’habitations de câbles torsadés "adaptés" en impédance qui rayonnent moins, il est absolument nécessaire qu’un tel déploiement s’effectue avec des câbles et connectiques totalement blindés ou adaptés faute de quoi il y aurait une nouvelle forte augmentation de l’électrosmog. [...]


    Si tel n'est pas le cas, cela serait une nouvelle et majeure source d’irradiation en HF s’ajoutant à celle récente issue des installations des communications mobiles qui perturbe déjà très fortement le métabolisme des humains avec les conséquences sanitaires que nous connaissons qui ont défrayé les chroniques.

     

    Pour lire l'article en intégralité :

    http://www.next-up.org/Newsoftheworld/CPL.php#1

     


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  • Le refus des compteurs dits « intelligents »

    commence à se manisfester un peu partout !



    Article paru le 4 février 2012 sur le site Le devoir.com :

     

            « La Commission des services publics de Californie a autorisé cette semaine les clients du principal distributeur d'électricité de cet État, la société PG&E, à refuser l'installation dans leur résidence des compteurs dits «intelligents».

             Ces clients auront soit le choix de conserver leur ancien compteur analogique, soit d'accepter l'installation d'un compteur électronique multifonctions dont on aura désactivé l'émetteur qui permet de transférer les données au moyen de radiofréquences qui s'accompagnent de champs électromagnétiques.

              Mais la commission californienne a décidé que les personnes réfractaires à ce que le quotidien Le Monde suggère d'appeler des «compteurs émettants» — puisque leur caractéristique principale est d'émettre des champs électromagnétiques — devront acquitter les frais du relevé de leur compteur par un représentant de PG&E. Ainsi, la commission autorise le distributeur à imposer des frais initiaux de 75 $ pour pénaliser le recours à un releveur — ce qui ne coûtait rien depuis le début de l'électrification des villes — et des frais mensuels de 10 $.

             La décision de la commission est d'autant plus controversée que PG&E avait accepté en décembre de ne pénaliser aucun des clients qui se désengagerait du programme. Il semble qu'aucune autre solution, par exemple l'installation de compteurs intelligents reliés au téléphone, n'a été envisagée.

             PG&E a été autorisée à installer 5 millions de compteurs électriques d'ici 5 ans, une opération que l'industrie du gaz veut copier en installant 4 millions en se basant sur le précédent.


                                                                              En Grande-Bretagne

             La Grande-Bretagne songerait elle aussi à permettre de se retirer de son programme de modernisation des compteurs, selon ce que rapportait cette semaine en primeur le Telegraph. Ce pays projetait d'en installer quelques dizaines de millions d'ici 2019 au coût de 12 milliards de livres sterling. Jusqu'ici 400 000 ont été installés, mais le mouvement ralentit, car l'opposition prend forme depuis que le public découvre dans ces compteurs une nouvelle source de champs électromagnétiques. Dans plusieurs pays, l'installation de ces compteurs et des antennes de téléphonie cellulaire est en train de provoquer une prise de conscience de l'ampleur prise par la pollution électromagnétique depuis quelques décennies.



                                                                Fin du projet-pilote d'Hydro dans Villeray

               Alors que les citoyens du quartier Villeray, à Montréal, affirment avoir eu raison du projet-pilote de compteurs émettant dans leur quartier, Hydro-Québec a confirmé au Journal de Montréal qu'elle mettait fin à son projet-pilote même si 7000 des 27 000 compteurs prévus n'ont pas encore été installés.

              Pour le Comité Villeray refuse (CVR), Hydro-Québec a voulu désamorcer la grogne croissante qui incitait de plus en plus les gens du quartier à fermer leur porte aux installateurs, à dire qu'ils n'étaient pas à la maison durant la journée ou à envoyer des lettres à Hydro-Québec pour dire qu'ils refusaient l'installation de ces équipements dans leurs maisons.

              Selon Marie-Michèle Poisson, porte-parole du CVR, plusieurs citoyens ont même commencé à exiger le retrait de ces équipements. De son côté, Hydro estime avoir obtenu toutes les informations qu'il voulait tirer de son projet-pilote. Les compteurs qui n'ont pas encore été installés le seront dans la phase finale du projet, une fois que la Régie de l'énergie l'aura avalisée, comme le prévoit la société d'État. »

     Louis-Gilles Francoeur

     

    Article disponible à cette adresse :

    http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/341850/la-californie-autorise-le-refus-des-compteurs-intelligents

     

     


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  • Téléphone portable

    et

    cancer du cerveau



    Cliquez sur l'image pour l'agrandir

    article

    Le Journal de l'Institut Curie - Février 2012


    Source :

    http://www.robindestoits.org/Telephone-portable-et-cancer-du-cerveau-Le-Journal-de-l-Institut-Curie-Fevrier-2012_a1444.html




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